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<blockquote data-quote="Sammael99" data-source="post: 635077" data-attributes="member: 1157"><p><strong>Prélude (Part 2) - In French</strong></p><p></p><p>Buenaventura Cervantès Rollas de Hazat, fils aîné du Baron Emiliano Cervantès Rollas de Hazat scrutait par le mince hublot de sa cabine la station Cumulus, avec en fond la sphère bleue qu’était Byzantium Secundus. On lui avait parlé de la station, bien sûr, mais rien ne l’avait préparé à une telle vision. Dans un monde où la technologie était bien souvent un vieux souvenir, une telle débauche de mécanique et de technique était presque choquante… </p><p></p><p>Buenaventura avait quitté Vera Cruz quelques semaines plus tôt, las des incessantes réceptions pour fêter son retour, las des inévitables condoléances sur la disparition de sa sœur, las des interminables complaintes de la famille sur les hérétiques kurgans, sur l’ingratitude de l’Empereur… Le jeune homme avait appris que son oncle Arturo se rendait sur Byzantium Secundus à l’occasion de l’anniversaire du Couronnement, et obtint de son père de faire partie du voyage.</p><p></p><p>L’équipage commençait à s’activer dans les coursives, et un mousse vint frapper à la porte de la cabine de Bueanventura : </p><p></p><p>- Monseigneur, nous amorçons notre approche. Votre oncle vous demande de le rejoindre au poste de pilotage.</p><p></p><p>Buenaventura s’y rendit et, comme il l’avait fait à chaque escale, il se harnacha dans un des fauteuils prévus à cet effet. Son oncle aimait la compagnie au moment des décollages et des atterrissages, et Buenaventura le soupçonnait de n’être pas trop à l’aise dans ces moments où votre vie est sujette à la mécanique…</p><p></p><p>« Alors, tu es décidé ? », lui redemanda son oncle pour la sixième fois.</p><p></p><p>- Oui, mon oncle. Je n’ai jamais eu l’occasion de visiter un lieu tel que Cumulus. Je pense que ce sera très… éducatif ! Je vous rejoindrais plus tard sur Byzantium Secundus.</p><p></p><p>- Soit. </p><p></p><p>Après quelques minutes, le vaisseau fut un peu secoué au moment où le faisceau tracteur l’immobilisait pour les dernières manœuvres. Puis il fut solidement arrimé. Buenaventura retourna dans sa cabine pour prendre ses quelques effets et se dirigea vers le sas de sortie. Il fallut attendre quelques minutes avant de pouvoir sortir. Le pilote, qui était venu saluer le neveu de son employeur expliqua à Buenaventura que c’était le temps que le sas externe du spatiodock se referme et qu’une atmosphère respirable soit réinjectée dans la pièce.</p><p></p><p>Enfin, Buenaventura put sortir. Son oncle et le pilote l’accompagnaient afin d’accélérer les formalités, mais en plus de l’employé des douanes, les trois hommes virent s’approcher deux silhouettes inhabituelles vêtues de longs manteaux à capuche noirs… Des inquisiteurs…</p><p></p><p>Arturo Cervantès Rollas s’avança vers eux. </p><p></p><p>- Un problème, messieurs ?</p><p></p><p>Appeler les inquisiteurs “Messieurs” était une insulte évidente. Buenaventura se souvint que son oncle avait eu maille à partir avec l’Inquisition durant les Guerres Impériales à propos de l’usage de troupes psi. Apparemment, il n’avait pas encore digéré l’affront…</p><p></p><p>Les inquisiteurs ne relevèrent pas, et l’un d’eux répondit d’une voix grave : </p><p></p><p>- Nous avons pour ordre d’inspecter tous les vaisseaux en arrivage et tous leurs passagers. Merci d’avance de votre coopération. </p><p></p><p>Un silence s’installa, puis Arturo reprit la parole, d’une voix sèche :</p><p></p><p>- C’est hors de question. Je suis Arturo Cervantès Rollas de Hazat, vassal du Marquis Alberto Rollas de Hazat en mission spéciale pour ma famille auprès de l’Empereur. J’arrive directement de Vera Cruz et ces gens font partie de mon entourage. Votre demande est intolérable !</p><p></p><p>L’un des inquisiteurs s’apprêtait visiblement à répondre lorsque le second le retint d’une main sur l’épaule.</p><p></p><p>- Vous arrivez de Vera Cruz, dites-vous ? Où avez-vous fait escale ?</p><p></p><p>- Brièvement sur Aragon pour ravitaillement, répondit le pilote. Voici tous les papiers.</p><p></p><p>L’inquisiteur examina les papiers, puis les remit au pilote. Il se tourna vers l’oncle de Buenaventura et, d’une voix dure, il dit :</p><p></p><p>- Je n’ai pas le temps d’entrer en conflit avec vous, et votre trajet rend peu probable votre implication dans l’affaire qui nous concerne. Mais sachez que nous œuvrons pour le Pancréateur, et que nulle station, nul titre de noblesse, nul privilège ne valent à ses yeux la piété et la dévotion. Nous nous en tiendrons là pour cette fois, Monseigneur, mais je n’oublierais ni votre nom, ni votre visage.</p><p></p><p>Arturo blémit de rage à cet affront, mais avant qu’il ne puisse rétorquer, les inquisiteurs étaient sortis du dock d’arrimage.</p><p></p><p>- Quel accueil… dit Buenaventura pour détendre un peu l’atmosphère… Mon oncle, il vaut sans doute mieux que je vous quitte rapidement afin que vous puissiez reprendre votre voyage et oublier ce fâcheux événement.</p><p></p><p>- Tu as raison. Bonne chance, neveu, et fait attention à toi, nous aurons besoin de tes services lorsque la croisade contre les Kurgans aura enfin été proclamée…</p><p></p><p>Buenaventura, sortit du hangar, paquetage au dos, et se trouva soudain au milieu d’une foule importante qui semblait se diriger vers l’extrémité d’un large corridor. Les gens attendaient ensuite devant un ensemble de portes métalliques qui s’ouvraient à intervalles régulier sur une cabine métallique. A chaque fois qu’une porte s’ouvrait, une partie de la foule incessante s’y engouffrait, mais quelques minutes après, lorsque la porte s’ouvrait à nouveau, la cabine à l’intérieur était vide… </p><p></p><p>« C’est cela que l’on doit appeler un ascenseur », se dit Buenaventura. Après avoir attendu quelques minutes dans l’espoir qu’une foule moins importante ne se presse à l’intérieur de ces boîtes à sardines, Buenaventura se décida enfin à rentrer dans un des ascenseurs… Il fut bousculé à plusieurs reprises devant le sas d’entrée. Toisant les rustres du regard, il parvint à faire s’écarter quelque peu les gens qui l’entouraient. Malgré l’étrange sensation qui lui retourné soudain l’estomac, Buenaventura ne laissa rien paraître de son malaise. Il attendit la fin du voyage et, lorsque les portes s’ouvrirent, il sortit d’un pas rapide. Au bout d’un long corridor, il émergea enfin…</p><p></p><p>Il était au milieu d’une rue en pleine ville ! Le ciel étoilé s’étendait à perte de vue, découpant nettement d’immenses bâtiments. Pour Buenaventura, habitué aux hacienda basses de Vera Cruz, cette vision causa un vertige lié à l’immensité des bâtiments. Il fut tiré de sa stupeur lorsqu’un homme le bouscula. Il l’attrapa par la manche. </p><p></p><p>- Eh, toi !</p><p></p><p>- Oui, Messire, répondit l’homme d’un vois mal assurée. </p><p></p><p>- Comment fait-on pour aller sur Byzantium Secundus ?</p><p></p><p>- On prend la navette, Messire.</p><p></p><p>- Et on la trouve où, la navette ?</p><p></p><p>- Il faut aller à la Compagnie Mondes Connus, ce sont eux qui affrètent les navettes. Leur officine est plus bas sur l’avenue du Consul Larch, vous ne pouvez pas vous tromper…</p><p></p><p>Satisfait de sa réponse, Buenaventura se dirigea vers l’échoppe en question. A peine entré, le commerçant l’accueillit avec respect.</p><p>- Que puis-je pour vous, Messire ?</p><p></p><p>- Je souhaiterai me rendre sur Byzantium Secundus dés demain.</p><p></p><p>- Bien sûr, bien sûr… Alors, il me reste de la place pour le vol de 19 heures TU.</p><p></p><p>- Faites donc…</p><p></p><p>- En première ou en deuxième classe, Messire ?</p><p></p><p>- A votre avis ? répondit Buenaventura offusqué.</p><p></p><p>- Oui, pardon, Monseigneur… hum… ce sera 5 phénix...</p><p></p><p>Buenaventura, billet en poche, entra alors dans le premier restaurant venu. Celui-ci s’appelait les « Baguettes de l’Empereur». Le propriétaire le salua très bas :</p><p></p><p>- Mess…</p><p></p><p>- Une table s’il vous plait.</p><p></p><p>- Par ici, Messire…</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Sammael99, post: 635077, member: 1157"] [b]Prélude (Part 2) - In French[/b] Buenaventura Cervantès Rollas de Hazat, fils aîné du Baron Emiliano Cervantès Rollas de Hazat scrutait par le mince hublot de sa cabine la station Cumulus, avec en fond la sphère bleue qu’était Byzantium Secundus. On lui avait parlé de la station, bien sûr, mais rien ne l’avait préparé à une telle vision. Dans un monde où la technologie était bien souvent un vieux souvenir, une telle débauche de mécanique et de technique était presque choquante… Buenaventura avait quitté Vera Cruz quelques semaines plus tôt, las des incessantes réceptions pour fêter son retour, las des inévitables condoléances sur la disparition de sa sœur, las des interminables complaintes de la famille sur les hérétiques kurgans, sur l’ingratitude de l’Empereur… Le jeune homme avait appris que son oncle Arturo se rendait sur Byzantium Secundus à l’occasion de l’anniversaire du Couronnement, et obtint de son père de faire partie du voyage. L’équipage commençait à s’activer dans les coursives, et un mousse vint frapper à la porte de la cabine de Bueanventura : - Monseigneur, nous amorçons notre approche. Votre oncle vous demande de le rejoindre au poste de pilotage. Buenaventura s’y rendit et, comme il l’avait fait à chaque escale, il se harnacha dans un des fauteuils prévus à cet effet. Son oncle aimait la compagnie au moment des décollages et des atterrissages, et Buenaventura le soupçonnait de n’être pas trop à l’aise dans ces moments où votre vie est sujette à la mécanique… « Alors, tu es décidé ? », lui redemanda son oncle pour la sixième fois. - Oui, mon oncle. Je n’ai jamais eu l’occasion de visiter un lieu tel que Cumulus. Je pense que ce sera très… éducatif ! Je vous rejoindrais plus tard sur Byzantium Secundus. - Soit. Après quelques minutes, le vaisseau fut un peu secoué au moment où le faisceau tracteur l’immobilisait pour les dernières manœuvres. Puis il fut solidement arrimé. Buenaventura retourna dans sa cabine pour prendre ses quelques effets et se dirigea vers le sas de sortie. Il fallut attendre quelques minutes avant de pouvoir sortir. Le pilote, qui était venu saluer le neveu de son employeur expliqua à Buenaventura que c’était le temps que le sas externe du spatiodock se referme et qu’une atmosphère respirable soit réinjectée dans la pièce. Enfin, Buenaventura put sortir. Son oncle et le pilote l’accompagnaient afin d’accélérer les formalités, mais en plus de l’employé des douanes, les trois hommes virent s’approcher deux silhouettes inhabituelles vêtues de longs manteaux à capuche noirs… Des inquisiteurs… Arturo Cervantès Rollas s’avança vers eux. - Un problème, messieurs ? Appeler les inquisiteurs “Messieurs” était une insulte évidente. Buenaventura se souvint que son oncle avait eu maille à partir avec l’Inquisition durant les Guerres Impériales à propos de l’usage de troupes psi. Apparemment, il n’avait pas encore digéré l’affront… Les inquisiteurs ne relevèrent pas, et l’un d’eux répondit d’une voix grave : - Nous avons pour ordre d’inspecter tous les vaisseaux en arrivage et tous leurs passagers. Merci d’avance de votre coopération. Un silence s’installa, puis Arturo reprit la parole, d’une voix sèche : - C’est hors de question. Je suis Arturo Cervantès Rollas de Hazat, vassal du Marquis Alberto Rollas de Hazat en mission spéciale pour ma famille auprès de l’Empereur. J’arrive directement de Vera Cruz et ces gens font partie de mon entourage. Votre demande est intolérable ! L’un des inquisiteurs s’apprêtait visiblement à répondre lorsque le second le retint d’une main sur l’épaule. - Vous arrivez de Vera Cruz, dites-vous ? Où avez-vous fait escale ? - Brièvement sur Aragon pour ravitaillement, répondit le pilote. Voici tous les papiers. L’inquisiteur examina les papiers, puis les remit au pilote. Il se tourna vers l’oncle de Buenaventura et, d’une voix dure, il dit : - Je n’ai pas le temps d’entrer en conflit avec vous, et votre trajet rend peu probable votre implication dans l’affaire qui nous concerne. Mais sachez que nous œuvrons pour le Pancréateur, et que nulle station, nul titre de noblesse, nul privilège ne valent à ses yeux la piété et la dévotion. Nous nous en tiendrons là pour cette fois, Monseigneur, mais je n’oublierais ni votre nom, ni votre visage. Arturo blémit de rage à cet affront, mais avant qu’il ne puisse rétorquer, les inquisiteurs étaient sortis du dock d’arrimage. - Quel accueil… dit Buenaventura pour détendre un peu l’atmosphère… Mon oncle, il vaut sans doute mieux que je vous quitte rapidement afin que vous puissiez reprendre votre voyage et oublier ce fâcheux événement. - Tu as raison. Bonne chance, neveu, et fait attention à toi, nous aurons besoin de tes services lorsque la croisade contre les Kurgans aura enfin été proclamée… Buenaventura, sortit du hangar, paquetage au dos, et se trouva soudain au milieu d’une foule importante qui semblait se diriger vers l’extrémité d’un large corridor. Les gens attendaient ensuite devant un ensemble de portes métalliques qui s’ouvraient à intervalles régulier sur une cabine métallique. A chaque fois qu’une porte s’ouvrait, une partie de la foule incessante s’y engouffrait, mais quelques minutes après, lorsque la porte s’ouvrait à nouveau, la cabine à l’intérieur était vide… « C’est cela que l’on doit appeler un ascenseur », se dit Buenaventura. Après avoir attendu quelques minutes dans l’espoir qu’une foule moins importante ne se presse à l’intérieur de ces boîtes à sardines, Buenaventura se décida enfin à rentrer dans un des ascenseurs… Il fut bousculé à plusieurs reprises devant le sas d’entrée. Toisant les rustres du regard, il parvint à faire s’écarter quelque peu les gens qui l’entouraient. Malgré l’étrange sensation qui lui retourné soudain l’estomac, Buenaventura ne laissa rien paraître de son malaise. Il attendit la fin du voyage et, lorsque les portes s’ouvrirent, il sortit d’un pas rapide. Au bout d’un long corridor, il émergea enfin… Il était au milieu d’une rue en pleine ville ! Le ciel étoilé s’étendait à perte de vue, découpant nettement d’immenses bâtiments. Pour Buenaventura, habitué aux hacienda basses de Vera Cruz, cette vision causa un vertige lié à l’immensité des bâtiments. Il fut tiré de sa stupeur lorsqu’un homme le bouscula. Il l’attrapa par la manche. - Eh, toi ! - Oui, Messire, répondit l’homme d’un vois mal assurée. - Comment fait-on pour aller sur Byzantium Secundus ? - On prend la navette, Messire. - Et on la trouve où, la navette ? - Il faut aller à la Compagnie Mondes Connus, ce sont eux qui affrètent les navettes. Leur officine est plus bas sur l’avenue du Consul Larch, vous ne pouvez pas vous tromper… Satisfait de sa réponse, Buenaventura se dirigea vers l’échoppe en question. A peine entré, le commerçant l’accueillit avec respect. - Que puis-je pour vous, Messire ? - Je souhaiterai me rendre sur Byzantium Secundus dés demain. - Bien sûr, bien sûr… Alors, il me reste de la place pour le vol de 19 heures TU. - Faites donc… - En première ou en deuxième classe, Messire ? - A votre avis ? répondit Buenaventura offusqué. - Oui, pardon, Monseigneur… hum… ce sera 5 phénix... Buenaventura, billet en poche, entra alors dans le premier restaurant venu. Celui-ci s’appelait les « Baguettes de l’Empereur». Le propriétaire le salua très bas : - Mess… - Une table s’il vous plait. - Par ici, Messire… [/QUOTE]
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