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THE DARK - An Illustrated Fading Suns Story Hour [UPDATED 18/02]
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<blockquote data-quote="Sammael99" data-source="post: 692820" data-attributes="member: 1157"><p><strong>L'Etranger (Part 3) - In French</strong></p><p></p><p>Entendant le cri, Lilwenn et Lamar commencèrent à rebrousser chemin et ce dernier, comprenant que Buenaventura était attaqué, eut la présence d’esprit de lancer sa torche à fusion vers le croisement afin qu’au moins l’assaillant soit visible.</p><p></p><p>Buenaventura avait maintenant armé son arbalète. Il se découvrit quelques instants et tira vers la silhouette qui s’approchait rapidement de lui. Le carreau se ficha dans la poitrine de l’être sans qu’il ne bronche le moins du monde. Ce que Buenaventura venait de voir l’avait en un replongé sur les horreurs du front de Stigmata. La créature n’avait plus d’humanoïde que la silhouette. Sa peau était squameuse et couverte de purulences. Sur son visage s’étaient ouvert des dizaines d’yeux de toutes tailles. Ses vêtements achevaient de se consumer sous l’effet d’un liquide acide qui dégoulinait sur son corps. Enfin, ses bras s’étaient transformé, l’un prenant la forme d’une sorte de canon de fusil d’où émergeait l’extrémité d’une tige de métal, l’autre finissant en une immense patte griffue. Le symbiote avait décidé de s’occuper d’eux...</p><p></p><p>Lilwenn sortit de sa poche le laser miniature qu’elle avait camouflé sous son bracelet lors des fouilles inquisitrices et se rapprocha pour tirer. Dans sa précipitation, elle manqua et une mince brûlure vint marquer la façade d’une des immeubles décrépits. Faz trifouillait au niveau de sa jambe gauche, tâtonnant dans la semi-obscurité. Quant à Buenaventura, il avait maintenant la créature en face de lui, et son arbalète ne lui servait plus à rien. Il la lâcha et, d’un geste aguerri, il dégaina sa rapière et frappa la créature dans la même mouvement. Elle émit un petit couinement mais le noble Hazat fut horrifié de voir que le morceau de chair qu’il venait de trancher sur l’épaule de la bête non seulement ne se détachait pas, mais semblait même se recoller au corps de la créature.</p><p></p><p>- Aidez-moi bordel ! hurla-t’il à ses compagnons.</p><p></p><p>A ce moment là, accompagnant son geste d’un râle humide, la créature frappa violemment Buenaventura au torse. A l’endroit de l’impact, il y eut un flash de lumière bleutée. L’ex-lieutenant avait pensé à enclencher son bouclier énergétique. Il n’en fut pas moins projeté à plusieurs mètres et glissa sur le sol jusqu’à heurter la façade de l’immeuble en face. </p><p></p><p>Lamar pointa alors son revolver lourd vers le dos du symbiote et tira par trois fois. Les balles traversèrent son corps et un liquide jaunâtre aspergea la rue. A la stupéfaction de l’aurige, les impacts de balle qui auraient du laisser des cratères de chair broyée se refermèrent aussitôt, laissant tout au plus apparaître de vagues traces brunâtres. A ce moment là, Lilwenn qui s’était approchée visa également le monstre et une ligne d’un bleu dense vint déchirer les chairs de son torse. La bête poussa un grognement de douleur et pointa son bras en forme de canon de fusil vers la jeune femme. Un bruit mou retentit et Lilwenn sentit une douleur intense lui saisir le ventre. Elle mit instinctivement la main sur son abdomen et sentit une tige métallique qui avait pénétré profondément. Elle tomba au sol sous le choc.</p><p></p><p>Buenaventura venait de se relever. Pendant un bref moment, il songea à aller chercher du renfort auprès des inquisiteurs. Mais il écarta bien vite cette idée, se disant que ses amis ne survivraient pas, mais aussi parce qu’un Hazat ne fuit jamais. Il se remémora son héroïque survie, la fameuse nuit dans la jungle infestée de symbiotes, et se décida à agir. Jaugeant la situation en un instant, il parvint à se glisser entre la créature et la jeune fouinarde blessée.</p><p></p><p>- Lilwenn, le laser, ordonna-t’il, tendant la main vers la jeune femme. </p><p></p><p>Lilwenn n’avait pas particulièrement envie de se séparer de la seule arme qui semblait pouvoir faire échec au symbiote, mais la douleur combinée à deux années de réflexes conditionnés fit qu’elle obéit presque instantanément à celui qui avait été son supérieur. Se sentant désarmée, elle glissa la main dans son sac et en sortit une longue boîte en métal cabossée. </p><p></p><p>Cherchant à distraire la bête, Lamar tira de nouveau à trois reprises. Malgré les multiples impacts, le Symbiote broncha à peine. Son barillet était vide. Il en sortit un autre d’une des poches de son manteau. </p><p></p><p>Buenaventura visa le Symbiote qui fonçait vers lui. Son tir fit mouche, et la créature émit de nouveau un ululement de douleur. Malheureusement, s’il était plus efficace que les balles, le laser n’avait pas assez de puissance pour faire reculer la bête. Elle vint percuter Buenaventura, toutes griffes en avant, d’un coup qui lui eut certainement arraché la gorge si son bouclier ne s’était de nouveau activé. </p><p></p><p>Faz avait changé de barillet. Il tira presque à bout portant, mais seule la première balle partit. Le barillet s’était bloqué. Pestant, l’aurige entreprit de nouveau d’ouvrir son revolver sans se brûler les doigts. Pendant ce temps, Lilwenn, les mains en sang, était en train de monter un fusil à pompe qu’elle avait sorti de sa boîte métallique. </p><p></p><p>Le symbiote frappa de nouveau le noble Hazat mais celui-ci parvint à esquiver le coup. Cependant, déstabilisé, il ne parvint pas à viser correctement avec son minuscule laser, et son tir se perdit dans les hauteurs. </p><p></p><p>Lamar avait rechargé son barillet mais, comprenant que son ancien supérieur n’y voyait pas assez bien pour ajuster sa cible, il courut récupérer sa lampe à fusion pour éclairer la scène au mieux. Le symbiote lui tournait une nouvelle fois le dos. Il devinait le visage du lieutenant, les traits tirés par le danger et la concentration.</p><p></p><p>Buenaventura tira quasiment à bout pourtant déchirant une section de l’abdomen du monstre. Un coup de griffe brutal vint presque immédiatement en riposte. Encore une fois, le bouclier énergétique sauva la mise en un éclair électrique.</p><p></p><p>Lilwenn avait fini de monter son fusil. On entendit le bruit sec de la pompe qui s’amorçait puis une déflagration puissante. Un large cratère apparut dans le mur d’en face. La douleur intense qui lui tordait l’abdomen rendait difficile l’ajustement du canon, et les mains de la jeune femme ne cessaient de trembler. </p><p></p><p>- Ce serait bien que tu m’éclates pas la tête ! hurla Buenaventura à sa jeune acolyte.</p><p></p><p>Le symbiote sembla soudain changer de comportement. Il bondit sur le mur et ses mains et ses jambes s’y agrippèrent comme par magie. Il commença à ramper vers le haut pour fuir le combat. Lilwenn visa de nouveau dans sa direction et cette fois elle parvint à le toucher ou, en tous cas, à le gêner suffisamment pour qu’il ne retombe. </p><p></p><p>A ce moment là, Faz qui était plus près du croisement entendit du bruit et vit des torches balayant l’obscurité en direction de la grille interdisant l’accès à ce quartier. C’était peut-être cela qui avait incité le symbiote à tenter de fuir. En tous cas, ce dernier venait de retomber au sol, et un rayon de laser bien ajusté par Buenventura lui sectionna net un des poignets. De rage, il bondit sur l’ex-lieutenant. Encore une fois, le bouclier énergétique sauva la mise au jeune homme, mais il se retrouva plaqué au sol, les bras de la créature lui enserrant les jambes et sa gueule béante menaçant de labourer son ventre. </p><p></p><p>Faz hésitait à appeler les nouveaux arrivants pour qu’ils accélèrent leur venue, mais il reconnût soudain dans la pénombre une robe noire à capuchon.</p><p></p><p>- L’Inquisition arrive, il faut se barrer, cria-t’il à ses compagnons sans toutefois hausser trop le ton pour ne pas que les inquisiteurs l’entendent. </p><p></p><p>Pendant quelques instants, Buenaventura et l’horrible créature se regardèrent, la haine presque tangible dans ce regard. La créature tenta d’arracher le ventre du Hazat, mais son bouclier encore une fois l’en empêcha. Buenaventura fit mouche avec le laser une fois, deux fois. Le symbiote était visiblement affaibli, mais pas encore mort.</p><p></p><p>Lilwenn, titubant, se releva et, profitant que l’attention du monstre était toute à Buenaventura, elle vint placer le canon de son fusil à pompe à quelques centimètres de ce qui servait de tête au symbiote.</p><p></p><p>- Crève, saloperie ! hurla-t’elle en appuyant sur la gâchette.</p><p></p><p>Sous l’impact, la tête du monstre explosa en centaines de fragments squameux et jaunâtres. Buenaventura fut aspergé de ce liquide immonde et le corps décapité de la bête retomba lourdement sur ses jambes. Elle eut encore quelques soubresauts puis s’immobilisa enfin.</p><p></p><p>Lilwenn s’affaissa non loin de là contre un mur, gémissant de douleur. Faz, quant à lui, tenta de dégager Buenaventura de l’étreinte mortelle du symbiote.</p><p></p><p>- Qu’est-ce que vous foutez là ! hurla une voix dure venant du croisement proche. </p><p></p><p>Cinq hommes venaient de faire irruption. Deux d’entre eux étaient vêtus des uniformes de la police de Cumulus. Les trois autres étaient des inquisiteurs...</p><p></p><p>- Je peux tout vous expliquer, commença Faz d’une voix mal assurée.</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Sammael99, post: 692820, member: 1157"] [b]L'Etranger (Part 3) - In French[/b] Entendant le cri, Lilwenn et Lamar commencèrent à rebrousser chemin et ce dernier, comprenant que Buenaventura était attaqué, eut la présence d’esprit de lancer sa torche à fusion vers le croisement afin qu’au moins l’assaillant soit visible. Buenaventura avait maintenant armé son arbalète. Il se découvrit quelques instants et tira vers la silhouette qui s’approchait rapidement de lui. Le carreau se ficha dans la poitrine de l’être sans qu’il ne bronche le moins du monde. Ce que Buenaventura venait de voir l’avait en un replongé sur les horreurs du front de Stigmata. La créature n’avait plus d’humanoïde que la silhouette. Sa peau était squameuse et couverte de purulences. Sur son visage s’étaient ouvert des dizaines d’yeux de toutes tailles. Ses vêtements achevaient de se consumer sous l’effet d’un liquide acide qui dégoulinait sur son corps. Enfin, ses bras s’étaient transformé, l’un prenant la forme d’une sorte de canon de fusil d’où émergeait l’extrémité d’une tige de métal, l’autre finissant en une immense patte griffue. Le symbiote avait décidé de s’occuper d’eux... Lilwenn sortit de sa poche le laser miniature qu’elle avait camouflé sous son bracelet lors des fouilles inquisitrices et se rapprocha pour tirer. Dans sa précipitation, elle manqua et une mince brûlure vint marquer la façade d’une des immeubles décrépits. Faz trifouillait au niveau de sa jambe gauche, tâtonnant dans la semi-obscurité. Quant à Buenaventura, il avait maintenant la créature en face de lui, et son arbalète ne lui servait plus à rien. Il la lâcha et, d’un geste aguerri, il dégaina sa rapière et frappa la créature dans la même mouvement. Elle émit un petit couinement mais le noble Hazat fut horrifié de voir que le morceau de chair qu’il venait de trancher sur l’épaule de la bête non seulement ne se détachait pas, mais semblait même se recoller au corps de la créature. - Aidez-moi bordel ! hurla-t’il à ses compagnons. A ce moment là, accompagnant son geste d’un râle humide, la créature frappa violemment Buenaventura au torse. A l’endroit de l’impact, il y eut un flash de lumière bleutée. L’ex-lieutenant avait pensé à enclencher son bouclier énergétique. Il n’en fut pas moins projeté à plusieurs mètres et glissa sur le sol jusqu’à heurter la façade de l’immeuble en face. Lamar pointa alors son revolver lourd vers le dos du symbiote et tira par trois fois. Les balles traversèrent son corps et un liquide jaunâtre aspergea la rue. A la stupéfaction de l’aurige, les impacts de balle qui auraient du laisser des cratères de chair broyée se refermèrent aussitôt, laissant tout au plus apparaître de vagues traces brunâtres. A ce moment là, Lilwenn qui s’était approchée visa également le monstre et une ligne d’un bleu dense vint déchirer les chairs de son torse. La bête poussa un grognement de douleur et pointa son bras en forme de canon de fusil vers la jeune femme. Un bruit mou retentit et Lilwenn sentit une douleur intense lui saisir le ventre. Elle mit instinctivement la main sur son abdomen et sentit une tige métallique qui avait pénétré profondément. Elle tomba au sol sous le choc. Buenaventura venait de se relever. Pendant un bref moment, il songea à aller chercher du renfort auprès des inquisiteurs. Mais il écarta bien vite cette idée, se disant que ses amis ne survivraient pas, mais aussi parce qu’un Hazat ne fuit jamais. Il se remémora son héroïque survie, la fameuse nuit dans la jungle infestée de symbiotes, et se décida à agir. Jaugeant la situation en un instant, il parvint à se glisser entre la créature et la jeune fouinarde blessée. - Lilwenn, le laser, ordonna-t’il, tendant la main vers la jeune femme. Lilwenn n’avait pas particulièrement envie de se séparer de la seule arme qui semblait pouvoir faire échec au symbiote, mais la douleur combinée à deux années de réflexes conditionnés fit qu’elle obéit presque instantanément à celui qui avait été son supérieur. Se sentant désarmée, elle glissa la main dans son sac et en sortit une longue boîte en métal cabossée. Cherchant à distraire la bête, Lamar tira de nouveau à trois reprises. Malgré les multiples impacts, le Symbiote broncha à peine. Son barillet était vide. Il en sortit un autre d’une des poches de son manteau. Buenaventura visa le Symbiote qui fonçait vers lui. Son tir fit mouche, et la créature émit de nouveau un ululement de douleur. Malheureusement, s’il était plus efficace que les balles, le laser n’avait pas assez de puissance pour faire reculer la bête. Elle vint percuter Buenaventura, toutes griffes en avant, d’un coup qui lui eut certainement arraché la gorge si son bouclier ne s’était de nouveau activé. Faz avait changé de barillet. Il tira presque à bout portant, mais seule la première balle partit. Le barillet s’était bloqué. Pestant, l’aurige entreprit de nouveau d’ouvrir son revolver sans se brûler les doigts. Pendant ce temps, Lilwenn, les mains en sang, était en train de monter un fusil à pompe qu’elle avait sorti de sa boîte métallique. Le symbiote frappa de nouveau le noble Hazat mais celui-ci parvint à esquiver le coup. Cependant, déstabilisé, il ne parvint pas à viser correctement avec son minuscule laser, et son tir se perdit dans les hauteurs. Lamar avait rechargé son barillet mais, comprenant que son ancien supérieur n’y voyait pas assez bien pour ajuster sa cible, il courut récupérer sa lampe à fusion pour éclairer la scène au mieux. Le symbiote lui tournait une nouvelle fois le dos. Il devinait le visage du lieutenant, les traits tirés par le danger et la concentration. Buenaventura tira quasiment à bout pourtant déchirant une section de l’abdomen du monstre. Un coup de griffe brutal vint presque immédiatement en riposte. Encore une fois, le bouclier énergétique sauva la mise en un éclair électrique. Lilwenn avait fini de monter son fusil. On entendit le bruit sec de la pompe qui s’amorçait puis une déflagration puissante. Un large cratère apparut dans le mur d’en face. La douleur intense qui lui tordait l’abdomen rendait difficile l’ajustement du canon, et les mains de la jeune femme ne cessaient de trembler. - Ce serait bien que tu m’éclates pas la tête ! hurla Buenaventura à sa jeune acolyte. Le symbiote sembla soudain changer de comportement. Il bondit sur le mur et ses mains et ses jambes s’y agrippèrent comme par magie. Il commença à ramper vers le haut pour fuir le combat. Lilwenn visa de nouveau dans sa direction et cette fois elle parvint à le toucher ou, en tous cas, à le gêner suffisamment pour qu’il ne retombe. A ce moment là, Faz qui était plus près du croisement entendit du bruit et vit des torches balayant l’obscurité en direction de la grille interdisant l’accès à ce quartier. C’était peut-être cela qui avait incité le symbiote à tenter de fuir. En tous cas, ce dernier venait de retomber au sol, et un rayon de laser bien ajusté par Buenventura lui sectionna net un des poignets. De rage, il bondit sur l’ex-lieutenant. Encore une fois, le bouclier énergétique sauva la mise au jeune homme, mais il se retrouva plaqué au sol, les bras de la créature lui enserrant les jambes et sa gueule béante menaçant de labourer son ventre. Faz hésitait à appeler les nouveaux arrivants pour qu’ils accélèrent leur venue, mais il reconnût soudain dans la pénombre une robe noire à capuchon. - L’Inquisition arrive, il faut se barrer, cria-t’il à ses compagnons sans toutefois hausser trop le ton pour ne pas que les inquisiteurs l’entendent. Pendant quelques instants, Buenaventura et l’horrible créature se regardèrent, la haine presque tangible dans ce regard. La créature tenta d’arracher le ventre du Hazat, mais son bouclier encore une fois l’en empêcha. Buenaventura fit mouche avec le laser une fois, deux fois. Le symbiote était visiblement affaibli, mais pas encore mort. Lilwenn, titubant, se releva et, profitant que l’attention du monstre était toute à Buenaventura, elle vint placer le canon de son fusil à pompe à quelques centimètres de ce qui servait de tête au symbiote. - Crève, saloperie ! hurla-t’elle en appuyant sur la gâchette. Sous l’impact, la tête du monstre explosa en centaines de fragments squameux et jaunâtres. Buenaventura fut aspergé de ce liquide immonde et le corps décapité de la bête retomba lourdement sur ses jambes. Elle eut encore quelques soubresauts puis s’immobilisa enfin. Lilwenn s’affaissa non loin de là contre un mur, gémissant de douleur. Faz, quant à lui, tenta de dégager Buenaventura de l’étreinte mortelle du symbiote. - Qu’est-ce que vous foutez là ! hurla une voix dure venant du croisement proche. Cinq hommes venaient de faire irruption. Deux d’entre eux étaient vêtus des uniformes de la police de Cumulus. Les trois autres étaient des inquisiteurs... - Je peux tout vous expliquer, commença Faz d’une voix mal assurée. [/QUOTE]
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