Prestement, Crista revient dans la salle et se réfugie aux côtés de son maître. Voyant son compagnon empoigner ses armes, Mitaine fait de même en s'approchant de Naline.
Imay jette un coup d'oeil rapide à la porte. Elle tente discrètement d'examiner la porte et d'en trouver le mécanisme. La porte semble avoir un mécanisme qui fait rouler la porte dans le mur lorsqu'elle s'ouvre. Le mécanisme comporte un verrou qui semble être relié à un trou dans la mur à droite de la porte (en m13), semblable à celui qu'elle avait trouvée à côté de l'autre porte. Par ailleurs, la porte semble, à son oeil aguerri, avoir été piégée autrefois. Il y a des marques de brûlures sur la porte, comme si des jets de flammes s'en étaient dégagés. Le sol en avant de la porte comporte également les mêmes signes indiquant que ceux qui se trouvaient devant la porte étaient pris dans l'arc de feu. La porte est maintenue ouverte par une pierre qui coince «l'engrenage». L'entrebaillement de la porte crée un croissant de lune à peine suffisamment grand pour laisser passer un humain ou un elfe.
Imay jette ensuite un coup d'oeil rapide dans la pièce, espérant ne pas être détectée. Malheureusement, de sa position, sa vision est limitée par le cadre de la porte et la porte elle-même. La pièce est mal éclairée. Une tige de fer au bout doré émettant une lumière blafarde repose sur le sol au centre de la pièce poussìéreuse. Le long de murs, il y a des petit lits de camps tous accompagnés d'un coffre. Tout est couvert de toiles d'arraignées et Imay en vois plusieurs allant ça et là. En face de la porte, elle peut entrevoir l'ouverture d'un tunnel tubulaire d'environ 1,5 m de diamètre qui a été creusé dans le mur. Outre les arraignées, Imay n'apperçois aucune créature dans cette pièce.