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Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie [Full]

Guillaume

Julie and I miss her
[OOC : puisque certains échanges entre personnage semble se dessiner, je vais attendre à demain avant d'afficher la suite. Ceci devrait laisser le temps au joueurs de faire un peu de role-playing.]
 

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dalshim

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Comme je l'ai dit à père Ruphus, je m'appelle Thrin Voieprofonde, du clan de Karkan.
Puis raconte son histoire accessible ici ...
...et voilà que j'ai été alerté par les cri de ce prêtre. La suite, vous la connaissez aussi bien que moi.
 
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Gez

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Urbannen said:
Altran enlève son manteau et s'assied près du feu. Il regarde les tours de Naline avec intérêt. "Tu me fais penser à quelqu'un," dit-il, "une amie de mon enfance."

Intriguée, Naline répond « Une amie ? Pourquoi ? Etait-elle une gnome ? »


Urbannen said:
Il se tourne vers le groupe. "D'où venez-vous? C'est la première fois dans ma vie que je vois un elfe, des gnomes et un nain, parce que je viens de la campagne. Est-ce que vous êtes venu à la ville chercher ses fortunes comme moi? Ou peut-être vous vous connaissez déja, et je suis le seul étranger ici?"

« Je ne puis répondre pour les autres, mais je suis étrangère ici, comme toi -- et on peut effectivement dire que je suis venue chercher fortune... »

Urbannen said:
[OOC: presque pas d'accents cette fois - j'utilise un Mac et je ne sais pas les y faire :eek: ]
[C'est pas grave... J'ai subtilement corrigé ça ;) Ma fois, il y a là moins de fautes que sur des forums français... Et à propos, pour "assied", on peut aussi mettre "assoit", comme tu préfères...:)]

dalshim said:
« Comme je l'ai dit au père Ruphus, je m'appelle Thrin Voixprofonde, du clan de Karkan. »
Puis il raconte son histoire accessible ici ...
« ...et voilà que j'ai été alerté par les cri de ce prêtre. La suite, vous la connaissez aussi bien que moi. »

« C'est très intéressant, messire Thrin. Je n'ai moi pas une histoire aussi tourneboulée à raconter. Vous devez déjà le savoir, je m'appelle Naline. On m'a aussi surnommée Yeux-de-soleil car des yeux jaunes comme les miens sont assez rare -- ma grand-mère en a aussi, cependant -- et je suis venue ici dans ma quête d'un endroit heureux et prospère. J'ai l'impression que je vais devoir encore chercher... »

Elle jette un coup d'oeil à son animal, et poursuit:
« Maintenant que Mitaine est sèche, je vais lui demander de vous renifler un peu, si ça ne vous dérange pas, pour qu'elle puisse vous reconnaître en tant qu'amis. Elle est très gentille, vous savez, mais elle est facilement effrayée. »
Et elle conclut en poussant curieusement des cris d'animaux,« wif ! wif ! » -- en réponse, Mitaine se lève, s'étire, puis trotte timidement vers la personne la plus proche...
 
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Julie

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Jusqu'à présent, Imay était restée dans un coin sans même enlever son capuchon ou sécher ses vêtements. Elle est maintenant certaine que la disparition de ses parents n'est pas une simple coïncidence. Il doit y avoir une relation entre les deux. Imay reste immobile, perdue dans ses pensées jusqu'à ce que Mitaine la sorte de ses rêveries.

"Bonjour toi. Mitaine, n'est-ce pas," demande Imay à Naline en tendant la main pour que Mitaine puisse la renifler. Elle résiste à la tentation de la flatter, puisque Mitaine semble hésitante. Voyant que tous ses nouveaux compagnons se sont mis à l'aise auprès du feu, Imay sent un frisson, lui rappelant qu'elle porte encore son manteau détrempé.

Lorsque Mitaine termine de la renifler, Imay enlève d'abord son capuchon, révélant de longs cheveux noirs jet, parcouru d'une mèche d'un blanc immaculé. Ses grands yeux verts, dont l'un est encadré d'arabesques élaborés, laissent transparaître une note d'inquiétude. Vous remarquez également qu'elle porte un petit bijou au nez. Sous son manteau, Imay porte des vêtements très colorés, mais quelques peu souillés par la boue des rues. Il semble y avoir toutes les couleurs de l'arc-en-ciel dans ses vêtements. Du haut de ses 105 cm et 21,5 Kg, Imay se présente : "Bonjour, je suis Imay Boischatel. Je suis une artiste ambulante. Ce n'est donc pas la première fois que je visite Chaudière, mais je ne demeure pas ici. En fait, je n'ai pas de demeure permanente. Ma famille et moi vivons des foires et des festivals. Par contre, mes parents ont également disparu ce matin. C'est pourquoi nous n'avons pas encore pliés bagages pour l'hiver. Cette foutue température a gâché nos spectacles. Pour couronné le tout, nos maigres revenus ont également disparus..."
 

wolvie

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Valiashan tend la main vers Mitaine lorsque celle ci s'approche de lui afin qu'elle repere bien son odeur. Il essaie de la mettre en confiance et la caresse si elle n'a pas l'air trop effarouchée. Il continue d'écouter attentivement les récits des autres mais sans donner l'impression de s'interesser. Par contre il releve la tete lorsque Imay parle de la disparition de ces parents. Cela augmente le nombre de personnes disparues. De plus il ne semble pas y avoir de rapports entre des orphelins et une famille de gnome troubadours.
 

Guillaume

Julie and I miss her
Bienvenu à Horacio !

Alors que vous faites les présentations, le jeune acolyte avec qui le frère Ruphus avait discuté à votre arrivée, fait irruption dans la pièce. Il arrive avec un grand plateau chargé de victuailles. Vous y voyez de la soupe, des fruits, du fromage, du pain frais quelques bouteilles de cidre. Bref, de quoi faire un bon repas. Si les chambres du monastère ne valent pas le confort de l’auberge du Vieux soûlon, la table est certainement aussi bonne !

«Pardonnez-moi, de vous interrompe, messieurs et mesdames, je vous ai préparé un petit goûter. J’en ai mis un peu plus que ce qui serait permis par les règles de l’ordre, mais étant donnée vos bonnes actions, je crois qu’Avméa sera indulgent,» dit le frère Martin avec un petit sourire espiègle.

«Je vois que vous pêcher de gourmandise encore une fois, frère Martin !»

Une jeune femme portant les robes d’une prêtresse de l’ordre de saint Grégorio et non pas celles d’une simple nonne, phénomène qui demeure relativement rare ici dans Erdeven, se tient dans l’embrasure de la porte. Ses longs cheveux bruns, soigneusement peignés, sont marqués des grandes mèches grisonnantes. Elle regarde d’un air autoritaire le jeune acolyte.

«Non, Mère Jenya, je vous assure,» balbutie le jeune homme, «je voulais… C’est à dire… C’est que je voulais…»

Les trais de la prêtresse se détendent et laisse place à un large sourire. «Allons, frère Martin, je vous taquinais. C’est une excellente initiative que d’avoir apporté une si belle table à nos hôtes. Maintenant, laissez-nous, je vous prie, je dois discuter avec ces gens.»

«Oui, mère,» répond le jeune homme en s’éclipsant, visiblement soulagé de ne pas avoir attiré la foudre de sa supérieure.

La jeune femme s’avance vers vous la main tendue en signe d’amitié. Elle arbore un grand sourire, mais ses yeux laissent transparaître fatigue et inquiétude.

«Bonsoir, bienvenus dans l’humble demeure d’Avméa. Je suis Mère Jenya Urikas, en l’absence du Père Délashan, je suis la supérieure de cette congrégation. Le frère Ruphus m’a raconté ce qu’il s’est passé ce soir. Il m’a également indiqué la façon héroïque dont vous vous êtes portés à son secours. Je vous en suis très reconnaissante. Le frère Ruphus est un membre très apprécié et très dévoué de notre petite congrégation.

Je voudrais, en guise de remerciements, vous offrir logis pendant que vous serez à Chaudière. C’est la moindre des choses que nous puissions faire.»


La mère supérieure prend le temps de se servir un verre de cidre avant de continuer.

«Ceci étant dit, j’aurais également une proposition à vous faire. Comme vous le savez, il y a trois nuits, quatre enfants ont disparus de l’orphelinat de la rue de la Lanterne : Diacre, Éveline, Lucille et Terrem. Ce sont les dernières victimes d’une série d’étranges de disparitions et de cambriolages. Remarquez, l’Orphelinat de la rue de la Lanterne a deux dortoirs, un pour les garçons, un pour les filles, tous deux situés à l’étage. Deux enfants ont été kidnappés dans chaque dortoir. Pourtant, personne, je dis bien personne, ni les enfants, ni les membres du personnel n’ont entendu ou vu quoique ce soit.»

«Pour ce qui est de la sécurité à l’orphelinat, les fenêtres et les portes sont barrées et les serrures sont de la meilleur qualité disponible ici à Chaudière. Toutes les portes de l’orphelinat sont verrouillées la nuit pour empêcher les enfants de faire des expéditions impromptues la nuit dans les rue de la ville.,» poursuit-elle.

«Suite à ces événement l’Église a promis de retrouver les enfants disparus et de remettre les kidnappeurs à la justice séculaire afin qu’ils soit punis selon les lois des Hommes. Bien que le frère Ruphus ne faisait pas partie en tant que tel de ce plan, il avait été envoyé à l’orphelinat pour y apporter un peu de confort. Les gens ont besoin, maintenant plus que jamais d’être assurés de la présence d’Avméa et de son Église.»

***

Nandeb avait parcouru la moitié de l’île, évitant soigneusement les zones de conflits, au cours des derniers mois. Ça n’avait pas été chose facile. Bien des barons étaient peu scrupuleux pour ce qui était du recrutement dans leurs armées, si on peut appeler ça du recrutement, sans compter qu’il y avait les brigands, les hordes d’humanoïdes et autres dangers du même genre. Il avait pu visiter quelques villes, quelques villages, mais rien n’avait réellement retenu son attention. Qu’est ce que le maître avait bien pu voulu dire par se chercher soi-même ?

Il était arrivé à Chaudière quelques instants à peine avant la fermeture des portes de la ville pour la nuit. La garde l’avait laissé entré sans trop faire de tracas et les lourds panneau de bois s’étaient refermés derrière lui. Nandeb avait presque l’impression d’entrer dans une prison. Ce que c’est tassé ici, où sont les arbres, l’espace, comment les gens peuvent-ils vivre aussi près les uns des autres ?

Perdu dans ses pensées, Nandeb n’avait pas vu le jeune acolyte qui courait pour éviter la pluie froide qui tombait. Nandeb, habitué de vivre dehors, ne s’en préoccupait pas. L’accrochant au passage, le jeune moine s’excusa : «Pardonnez-moi, je n’ai pas fait… Nandeb ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » Nandeb redressa la tête. Le jeune homme avait un air familier : «Tirenn ?
-Frère Tirenn, je suis acolyte chez les grégoriens. Mais dis-moi Nandeb, depuis quand tu es en ville, je croyais que restait caché dans les bois ? Tu as un endroit pour loger ? Tu as mangé ? Non. Allons, viens au monastère, le frère Martin prépare une excellente soupe et avec cette température, ça nous fera grand bien. Tu en profiteras pour tout me raconter.»


Assis au coin du feu dans la cuisine du monastère, Nandeb devait admettre que ce n’était pas si mal comme endroit. Il n’aurait certainement pas choisi la vie de son ami Tirenn, mais il avait l’impression que c’était réciproque. Quoiqu’il en soit, Tirenn avait quitté le village il y cinq ou six ans pour entrer chez les frères. Après son tutellage, il avait été envoyé à Chaudière pour entreprendre la réfection des jardins et de l’herboristerie. Étant fils de fermier, son passé lui était d’un grand service. Nandeb ne pouvait qu’approuver.

«Le vieux sorcier de la forêt t’a donc dit d’aller te trouver… Il a toujours eu des idées bizarres, celui-là. Mais Avméa et Zemli sont des maîtres bien étranges qui ont chacun leur façon de faire.»

«Vous ne devriez pas implorer les dieux païens dans ces lieux, si Mère Jenya vous entendait, s’exclamât le frère Martin qui entrait.
- Tiens, de retour. Je présume que notre bonne supérieure vous a encore accusé de gourmandise, mon frère, répondit Tirenn, visiblement dans une excellente humeur.
- Cela n’a rien à voir, nous sommes dans la maison d’Avméa. Il n’est de notre…
- Holà, holà, mon frère, je ne voulais pas commencer un débat théologique et philosophique ce soir. Je montrais simplement un peu de respect envers notre hôte et ses convictions.
- Vous avez raison. Pardonnez-moi, tous les deux. Avec toutes ces disparitions et l’absence du Père Délashan, je suis un peu nerveux.
- Parlant de disparitions, est-ce pour cela que Mère Jenya voulais rencontrer ces gens ?
- Je le crois, vous le savez tout aussi bien que moi, mon frère, nous ne somme pas assez nombreux dans cette petite congrégation pour mener cette enquête. Mère Jenya va devoir faire appel à de l’aide extérieur.»


Actions ?
 

Gez

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Imay:
« Bonjour toi. Mitaine, n'est-ce pas ? »

« Voui. On peut la caresser, ça la rassurera sans doute un peu... »


Imay:
« Par contre, mes parents ont également disparu ce matin. »

« Tu penses que ça aurait un rapport avec ces voleurs de bambins ? Qui donc pourrait avoir une raison d'enlever de petites personnes, et pourquoi ? »

A l'arrivée de Martin avec ses plats, Naline refroidit sa chope avant de se servir un peu de cidre, en remerciant le moinillon pour cette belle générosité.

Jenya:
« Pour ce qui est de la sécurité à l’orphelinat, les fenêtres et les portes sont barrées et les serrures sont de la meilleur qualité disponible ici à Chaudière. Toutes les portes de l’orphelinat sont verrouillées la nuit pour empêcher les enfants de faire des expéditions impromptues la nuit dans les rue de la ville. »

« Restent les cheminées -- ou la magie. Est-ce que des créatures de la taille d'un enfant humain pourrait passer par une cheminée ? Cela laisserait la place à des vils voyoux tels que des gobelins ou des kobolds de passer... »

Une grimace de défiance voile le visage de Naline alors qu'elle évoque les croquemitaines de son peuple.

« Les malotrus déguisés ont parlé d'une certaine Jill, il pourrait peut-être nous en dire un peu plus. Pourrait-on savoir ce qu'ils ont dit à la milice ? »

Après un court instant de réflexion:

« Ah, et puis, pourriez-vous nous décrire ces malheureux enfants, Diacre, Éveline, Lucille et Terrem ? Afin que l'on puisse les reconnaitre aisément... Et puis, si on pouvait aller à l'orphelinat, Mitaine pourrait peut-être apprendre leur odeur d'après des objets à eux, ou au moins leur matelas. Son nez est aussi fin que celui d'un chien, vous savez ? »
 
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Julie

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"Sans vouloir vous manquer de respect, mère Urikas, je crois que les dernières victimes de cette série de disparitions sont mes parents. Ils ont disapu de notre camp sans laisser traces ce matin, tout comme notre réserve d'argent," dit doucement Imay. "Par contre, si les autres disparitions ont été accompagnés de cambriolages, je ne vois pas le lien avec les enfants d'un orphelina. A-t-il également été cambriolé ? Les enfants de l'orphelina sont-ils les seuls enfants disparus ? Qu'est-ce qu'une guilde de voleurs peut bien vouloir avec des enfants ? Personne n'a rien vu, ni entendu ?" Excité d'avoir trouvé une piste après une journée de recherche infructueuses, Imay peine à contrôler sa curiosité.
 

Guillaume

Julie and I miss her
Thrin s'avance et sert la main de la prêtresse : «Heureux de faire votre connaissance, ma Mère. Nous avons fait ce qu'il fallait faire quand il fallait le faire. De toutes manière un petit coup de hache, ça fait du bien à un nain ! Pour ce qui est du logis, j'accepterai volontier.»

Thrin écoute Mere Urikas, puis les intervention d'Imay et de Naline.

«N'en déplaise à mes compagnons, d'après ce que j'ai entendu dire, ce ne sont pas seulement des petites personnes qui ont disparus dans cette ville. Il y a eu des humains, des nains, toutes sortes de gens. Certains disent que des cultistes de Délénor capturent ces gens pour des sacrifices, d'autre disent que c'est le retour de la malédiction qui a fait disparaître les gnomes de l'île il y a quelques générations, mais qu'aujourd'hui elle frapperait sans égard à la race.»

À la mention de la malédiction gnome, les deux membres de la race ne peuvent pas s'empêcher de frisonner. Tous les gnomes connaissent les légendes. Il fut un temps où les gnomes étaient beaucoup plus nombreux, vivant dans les villes ou dans des grandes communautés. Aujourd'hui, il ne restait plus grand chose de cette communauté. Les quelques clan gnomes qui survivaient étaient pour la plus part errant où s'étaient intégrés dans le communautés humaine jusqu'à en perdre leur identité. Mais tous parlait de la malédiction qui faisait disparaître les proches.

«Allons, messire Thrin, je ne crois pas qu'il sagissent de quelque chose d'aussi dramatique,» répond la prêtresse. «Mais vous avez raison de dire que ce ne sont pas seulement les petites personnes qui ont disparues.» Elle sort de sa poche quelques feuilles de parchemin qu'elle tend à Naline. «Comme vous pouvez le constater, la liste est longue. Les victimes variées. Et malheureusement, s'il faut en croire mademoiselle, désolé je n'ai pas saisi votre nom... Imay Boischâtel vous dites ? S'il faut en croire mademoiselle Boischâtel, il y a deux autre victimes à ajouter sur cette liste. Le fait que ses parents aient disparus sans laisser de traces et que les biens matériels les plus précieux aient disparus correspond bien a modus operandi des malfaiteurs.

Mademoiselle Naline, vous signifiez qu'ils auraient peut-être pu passer par les cheminés, pour cela, il aurait fallu qu'ils soit bien petit, voyez vous-même.»
La prêtresse indique la cheminée du foyer de cette pièce. La sortie de la cheminé fait à peine une 15 cm de diamètres. «Le monastère et l'orphelinat ont été construits à la même époque, par les mêmes architectes. Les cheminés sont toutes aussi petites. En plus, elles sont grillagées à trois pour empêcher les rats de rentrer.»

«Pour ce qui est des malotrus, je n'y connais pas grand chose. J'ai cru comprendre qu'ils portaient des couleurs particulières, qu'une certaine Jill auraient été leur contact et qu'elle aurait réussi à filer. Outre cela, je n'en connait pas grand chose. Ah si, la milice les auraient appelés la guilde des Arlequins. Pourquoi une guilde de voleurs auraient des intérêts dans le kidnapping d'orphelins, je ne sais pas. Chose certaine, c'est que dans aucun cas qui figure sur cette liste il n'y a eu de demande de rançon.»

«Finalement, mademoiselle Naline, pour ce qui est de la description des enfants, je dois avouer mon ignorance. Je ne vais pas régulièrement à l'orphelinat. Madame Tashyk, la gouvernante serait mieux à même de vous répondre à ce sujet.»

[OOC : À la demande de Dalshim, j'ai pris le rôle de Thrim jusqu'à mardi. Il est parti en randonnée. Aussi bien l'utiliser pour passer quelques rumeurs :) Également, je joint une copie de la liste des disparus.]
 

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Urbannen

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Avant, à Naline, un peu mystérieusement, «Ma meilleure amie était petite comme toi, mais elle n'ést pas ni gnome ni halfelin.»

A présent, au groupe. «Quel pourrait bien être le lien entre des gens tellement différents?» demande à haute voix Altran. «Toutes les races et tous les âges, chaque sexe. C'est comme si quelqu'un cherchait un certain type de personne, mais ne sachant pas de quel type. C'est inquiétant surtout que des enfants soient enlevés de leurs propres lits. J'aimerais bien savoir la solution du mystère, mais comment? Il semble impossible à résoudre.»

Il essaye d'utiliser sa compétence Connaissance (mystères) pour voir s'il connaît un type de magie, artefact, ou créature capable d'enlever les orphelins de leur chambre comme ça. Jet +3. [OOC: Oui, je sais, presque impossible, si c'est possible du tout. Mais on peut toujours essayer!]
 
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