Altran est renconforté par la présence de loi. Peut-être la grande ville est plus sûre qu'il ne le pensait. Il laisse l'énergie du sort dissiper. Il est un peu inquiété que tous ces gens l'aient écouté jeter un sort. Se tournant vers les milices, il ne dit rien, préférant de ne pas attirer attention à lui même. Il est toujours possible que son père le cherche déjà, et que sa description soit connue par les autorités des villes à l'alentour de Fossembault.
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The VOIDRUNNER'S CODEX is coming! Explore new worlds, fight oppressive empires, fend off fearsome aliens, and wield deadly psionics with this comprehensive boxed set expansion for 5E and A5E!
Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie [Full]
- Thread starter Guillaume
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Guillaume
Julie and I miss her
L’arrivée des gardes semble avoir littéralement mis les deux hommes à terre. Tant bien que mal, ils tentent des cacher leur visage alors que les miliciens s’approchent.
Le sergent, écoute les compagnons donner leur version des faits alors qu’il négocie le pavé de l’allée. «Alors, messieurs, on s’attaque aux…» Il s’arrête net. Il fait quelques pas rapide et agrippe un des deux hommes par le collet, le retournant violemment. «Malek ?!» Il saisit le deuxième : «Pyror ?! Qu’est-ce que vous faites ici ? Et avec les couleurs de la guilde des Arlequins ? Et vous attaquez un prêtre ?! Vous allez avoir des explications à donner au capitaine !
- J’vous assure, sergent, dit l’homme que le milicien a désigné comme Malek, on ne voulait pas le tuer !
- Non, pas le tuer, ajoute Pyror. Elle nous avait simplement payés pour lui faire peur.
- Jill, oui Jill c’est son nom, elle nous a payés pour lui faire peur. Il fallait que l’on envoie un message clair à l’Église, c’est ce qu’elle nous a dit. On a pas demandé pourquoi, on voulait pas savoir.
- Ça suffit ! Vous êtes aux arrêts. Le capitaine et le magistrat décideront de votre sort, interjette le sergent. En attendant vous allez croupir au cachot. Quant à vous, vous dit le sergent, passez votre chemin. Et mon père… je vous suggère de rentrer prestement au monastère.
Sur ce, le sergent et ses hommes escortent les deux gardes hors de l’allée vous laissant seul avec le prêtre. Alors qu’ils sortent, vous pouvez entendre l’homme d’arme mentionner à un de ses hommes : «Aller en avant chercher des hommes pour fouiller le quartier. La petite gnome indiquait qu’il y en avait deux qui s’étaient échappés…»
Les gardes partis, le prêtre laisse tomber un long soupir. La tension qui était visible sous les ecchymoses semble le quitter. Vous remarquez que l’homme est relativement jeune. Ses courts cheveux bruns bouclés ébouriffés n’ont aucune marque de gris. Les ecchymoses, grâce à l’intervention de Naline, semblent disparaître peu à peu. Sa tunique blanche est souillée par la pluie et la boue de la ruelle. Se tournant vers vous tous, il vous confie :
«Qu’Avméa vous bénisse de votre intervention ! Je m’appelle Ruphus Laro, je suis un acolyte au monastère de l’église Saint-Grégorio-de-la-Passion. Je revenais de l’orphelinat de la rue de la Lanterne quand j’ai été accosté par ces trois hommes. J’ai crû qu’il s’agissait de simples brigands. Il semble qu’il en était autrement. Je présume que la guilde des Arlequins ne veut pas que nous poursuivons notre enquête…» Il fait une courte pause, perdu dans ses pensées. Il poursuit en disant : «Étant donné que deux des malfaiteurs sont encore en liberté, est-ce que serait trop vous demander que de m’escorter jusqu’à l’église ?»
Il a à peine dit ces mots que les cieux semblent avoir décider que vous devriez à tout le moins trouver un abri. La pluie, jusque là fine, se met à tomber en grandes trombes. L’eau est glaciale et la température tombe rapidement.
Le sergent, écoute les compagnons donner leur version des faits alors qu’il négocie le pavé de l’allée. «Alors, messieurs, on s’attaque aux…» Il s’arrête net. Il fait quelques pas rapide et agrippe un des deux hommes par le collet, le retournant violemment. «Malek ?!» Il saisit le deuxième : «Pyror ?! Qu’est-ce que vous faites ici ? Et avec les couleurs de la guilde des Arlequins ? Et vous attaquez un prêtre ?! Vous allez avoir des explications à donner au capitaine !
- J’vous assure, sergent, dit l’homme que le milicien a désigné comme Malek, on ne voulait pas le tuer !
- Non, pas le tuer, ajoute Pyror. Elle nous avait simplement payés pour lui faire peur.
- Jill, oui Jill c’est son nom, elle nous a payés pour lui faire peur. Il fallait que l’on envoie un message clair à l’Église, c’est ce qu’elle nous a dit. On a pas demandé pourquoi, on voulait pas savoir.
- Ça suffit ! Vous êtes aux arrêts. Le capitaine et le magistrat décideront de votre sort, interjette le sergent. En attendant vous allez croupir au cachot. Quant à vous, vous dit le sergent, passez votre chemin. Et mon père… je vous suggère de rentrer prestement au monastère.
Sur ce, le sergent et ses hommes escortent les deux gardes hors de l’allée vous laissant seul avec le prêtre. Alors qu’ils sortent, vous pouvez entendre l’homme d’arme mentionner à un de ses hommes : «Aller en avant chercher des hommes pour fouiller le quartier. La petite gnome indiquait qu’il y en avait deux qui s’étaient échappés…»
Les gardes partis, le prêtre laisse tomber un long soupir. La tension qui était visible sous les ecchymoses semble le quitter. Vous remarquez que l’homme est relativement jeune. Ses courts cheveux bruns bouclés ébouriffés n’ont aucune marque de gris. Les ecchymoses, grâce à l’intervention de Naline, semblent disparaître peu à peu. Sa tunique blanche est souillée par la pluie et la boue de la ruelle. Se tournant vers vous tous, il vous confie :
«Qu’Avméa vous bénisse de votre intervention ! Je m’appelle Ruphus Laro, je suis un acolyte au monastère de l’église Saint-Grégorio-de-la-Passion. Je revenais de l’orphelinat de la rue de la Lanterne quand j’ai été accosté par ces trois hommes. J’ai crû qu’il s’agissait de simples brigands. Il semble qu’il en était autrement. Je présume que la guilde des Arlequins ne veut pas que nous poursuivons notre enquête…» Il fait une courte pause, perdu dans ses pensées. Il poursuit en disant : «Étant donné que deux des malfaiteurs sont encore en liberté, est-ce que serait trop vous demander que de m’escorter jusqu’à l’église ?»
Il a à peine dit ces mots que les cieux semblent avoir décider que vous devriez à tout le moins trouver un abri. La pluie, jusque là fine, se met à tomber en grandes trombes. L’eau est glaciale et la température tombe rapidement.
Gez
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Naline remet en ceinture sa serpe, et replace son bouclier dans son dos. Puis, un peu nerveuse, elle semble hésiter à parler avant de finalement se décider.
« Vous nous devez une fière chandelle. Si vous nous racontiez cette histoire d'orphelinat autour d'un bon cidre et d'une soupe chaude ? Vous devez connaître une auberge tranquille dans le coin. J'ai plein de question à vous poser, et je suis sûre que tout ces braves gens aussi... »
« Vous nous devez une fière chandelle. Si vous nous racontiez cette histoire d'orphelinat autour d'un bon cidre et d'une soupe chaude ? Vous devez connaître une auberge tranquille dans le coin. J'ai plein de question à vous poser, et je suis sûre que tout ces braves gens aussi... »
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grommelant dans sa barbe pendant qu'il range ses armes
hum... un cidre ... une soupe ... ça n'a jamais nourri un nain, voyons...
puis, se retournant vers le prêtre
Personnellement, je m'accomoderai de quelque refuge que ce soit. Cette pluie va finir par me faire fondre. Décidez vous donc, mais une chose est sûre : que ce soit monastère ou auberge, je suis impatient de connaitre le fin mot de cette histoire !!
hum... un cidre ... une soupe ... ça n'a jamais nourri un nain, voyons...
puis, se retournant vers le prêtre
Personnellement, je m'accomoderai de quelque refuge que ce soit. Cette pluie va finir par me faire fondre. Décidez vous donc, mais une chose est sûre : que ce soit monastère ou auberge, je suis impatient de connaitre le fin mot de cette histoire !!
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Gez
First Post
En souriant, Naline adresse cette remarque à Thrin:
« Bah, quand on sait s'y prendre, une seule groseille suffit pour être repue pour la journée! Malheureusement, je n'en ai pas de préparée sur moi. Mais je suis d'accord, il nous faut un toit pour cette nuit, ou on va attraper mal. »
« Bah, quand on sait s'y prendre, une seule groseille suffit pour être repue pour la journée! Malheureusement, je n'en ai pas de préparée sur moi. Mais je suis d'accord, il nous faut un toit pour cette nuit, ou on va attraper mal. »
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Guillaume
Julie and I miss her
«Vous avez certes raison, ma fille, au coin d'un feu et avec un bon cidre, ce serait plaisant. Malheureusement, je dois prestement rapporter les événements de la soirée à mes supérieurs. Mais le frère Antoine fait une excellente soupe et je crois bien que nous serions en mesure de dénicher un petit cidre dans nos caves qui saura plaire à votre palais.
Pour ce qui est du refuge, le monastère ne peut certainement pas vous offrir le confort d'une auberge comme Le vieux soûlon, mais je suis certain que nous pourrions vous accomoder, messire nain. Après tout, ce serait la moindre des chose.
Au fait, avant que je ne l'oubli, j'aimerai vous remercier pour vos soins, ma fille. Il m'ont fait grand bien.»
Pour ce qui est du refuge, le monastère ne peut certainement pas vous offrir le confort d'une auberge comme Le vieux soûlon, mais je suis certain que nous pourrions vous accomoder, messire nain. Après tout, ce serait la moindre des chose.
Au fait, avant que je ne l'oubli, j'aimerai vous remercier pour vos soins, ma fille. Il m'ont fait grand bien.»
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Topons là père Laro. Je me présente : Thrin Voiprofonde.
Je serais ravi, pour ma part, de trouver refuge dans votre monastère. D'ailleurs vos grandes salles ont, selon ce que j'ai ouïe dire, une résonnance accoustique impressionante.
C'est que ... je suis quelque peu mélomane, voyez-vous.
Hâtons nous avant que la pluie ne nous coule le long des os ...
[OOC : pluie <-> os (au pluriel, os = eau) SUPERBE JEU DE MOT !!!!]
Je serais ravi, pour ma part, de trouver refuge dans votre monastère. D'ailleurs vos grandes salles ont, selon ce que j'ai ouïe dire, une résonnance accoustique impressionante.
C'est que ... je suis quelque peu mélomane, voyez-vous.
Hâtons nous avant que la pluie ne nous coule le long des os ...
[OOC : pluie <-> os (au pluriel, os = eau) SUPERBE JEU DE MOT !!!!]
Valishan range son arme après l'avoir essuyer. Il écoute attentivement ce que disent ses nouveaux compagnons en les observant attentivement. Il est impatient de connaitre l'histoire de ce pretre car le role des miliciens déguisé en bandit lui parait tres énigmatique.
Il dit donc : "Mon nom est Valishan et il me semble que nous ferions mieux de nous rendre dans un endroit où personne n'attendra le pere Laro ne sera pas attendu. Cette créature arachnide ne le laissera pas tranquille me semble-t-il."
Il dit donc : "Mon nom est Valishan et il me semble que nous ferions mieux de nous rendre dans un endroit où personne n'attendra le pere Laro ne sera pas attendu. Cette créature arachnide ne le laissera pas tranquille me semble-t-il."
Julie
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Emporté par son amour des animaux, Imay se dirige vers Mitaines et tendant la main. "Quelle belle renarde, je peux la flatter," demande Imay à Naline, ses yeux verts scintillants. Elle se ravise aussitôt, voyant la pauvre bête, ainsi que ses nouveaux compagnons tous mouillés. "Pardons, où sont mes manières, je me nomme Imay Boischatel et je suis du même avis que vous, dépêchons-nous de trouver le monastère," ajoute-t-elle aussitôt. "Brrrr," dit elle en frisssonnant, "j'ai froid."
