Alors qu'Imay avance dans le couloir, la luminosité diminue progressivement. Les voix se font de plus en plus insistantes et, bien qu'elle ne soit pas en mesure de distinguer la langue, elle est certaine qu'une des deux voix semble désapprouvé quelque chose.
Malheureusement, passé le coin, la lumière de la lanterne d'Altran devient insuffisante. C'est l'obscurité complète.
Trébuchant sur une fissure dans le planché, Imay fait un faux qui, à ses oreilles de gnome, fait trop de bruit. Elle s'arrête pour voir ce qui se passe.
Les voix se sont tues. Dans l'obscurité qui lui fait face, elle ne peut voir ce qui se passe. Elle est seule, dans le noir et enveloppée par le silence.