Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie (suite) [Full]

Ton père se nomme Dathak ?

Micheal, le teint un peu blême, regarde Nárin.

C'est une lettre de ton père, je crois que c'est très important...

Micheal se met à lire la lettre...
 

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Valishan écoute Naline et Fario (s'il le peut) et se dit qu'il est d'accord avec Fario pour éviter la confrontation directe mias qu'il aimerait savoir pourquoi ils n'ont pas attaqué directement.
[S'il ne risque pas d'etre entendu par les creatures, il fait part de ses reflexions aux autres mais je doute que ce soit le cas vu la distance]
 

En chargeant son arbalète légère, Imay chuchotte "Mon frère, vous pouvez avertrir nos compagnons que nous avons trouvé une issue. Je surveillerai le trou en attendant". Elle allume sa lantrene lorsque Diero quitte la salle pour éviter l'obscurité totale. L'arbalète visant le trou, Imay tire sur toute créature bloquant leur issue.
 
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Diero retourne auprès des autres compagnons pour les avertir qu'Imay et lui ont trouvé un tunnel menant probablement à des niveaux inférieurs et qui permettrait au moins d'échapper à leurs assaillants. "Il faudra par contre les retenir. Serait-il possible pour un de nous de créer une quelconque illusion, sonore ou visuelle, qui laisserait croire à nos ennemis que nous gardons toujours l'entrée du hall? Ceci permettrait de couvrir nos arrières pendant que nous empruntons le tunnel ou du moins ça pourrait les ralentir le temps qu'ils se rendent compte de l'illusion" chuchote Diero à ses compagnons afin d'éviter que leurs ennemis ne comprennent leurs intentions.
 
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OOC: En supposant que Michael dit "Ton père se nomme Enki ?"

Après la lecture de Michael, Nárin fait de son mieux pour ne pas paraître trop perturbé. Sur le coup, il est très dur envers son clan. "Ouais ... bon ... je leur avais bien dit que nous allions à notre perte. Ils ... ils ont eu c'qu'il méritait." Mais Nárin se remémore la lettre et ajoute ceci. "En fait, s'ils ont pu retrouver leur rage, peut-être qu'ils ont survécu ... ou ils sont morts au combat. Un comme l'autre, c'est mieux que ce que j'attendais d'eux." Nárin semble alors très triste.
 

Entendant la proposition de Diero, Altran chuchotte : «J'aimerai bien fournir cette illusion, mon frère, mais je n'ai aucun sort à ma disposition qui pourrait nous aider. Je suis pratiquement à sec pour la journée.»

«À moins que nous installions un simple piège ?», propose Féllian. «Peut-être que mesdemoiselles Naline ou Imay seraient en mesure d'improviser un petit quelque chose pour couvrir nos arrières ?»

Pendant ce temps, vos adversaire ne semblent pas avoir bouger. Ils sont encore aux entrées de la salle des arbres, vous pouvez clairement les entendre, mais ils n'ont pas avancé.
 
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Alors que Nárin et Michael s'assoient à une table, une serveuse leur apportent une biere fraîche avec du pain et un peu de fromage. «Qu'est-ce qui vous ramène chez nous m'sieu Nárin ?» Puis constantant l'air abattu du nain, «C'est monsieur le frère ici qui vous cause tant de soucis ?», ajoute-t-elle en faisant un clin d'oeil à Michael, un merveilleux sourire aux lèvres.
 

Seule dans la pièce, Imay commence à réaliser que la pièce n'est pas très grande. En fait, elle semble rapetisser lentement. Se concentrant sur le trou, elle tente de chasser les mauvais souvenirs d'une minuscule cellule noire et froide. Une goute de sueur froide coule lui coule dans le dos. Un noeud se forme dans son estomac. Elle secoue sa tête pour se changer les idées.
 

Chère demoiselle, votre sourire est une douce libération en ces temps difficiles. Je ne sais point s'il saura égayer mon ami Nárin mais il nous fait très plaisir...

Se retournant vers Nárin:

La vie est très mystérieuse et le sort qu'Avméa nous réserve l'est encore plus. Vous êtes un fier représentant de votre clan et dans quelque temps lorsque vous trouverez femme, vous pourrez ainsi poursuivre la fièreté des Fer-de-Hache.
 

«Ça fait parti du service, mon seigneur.» Répond-t-elle en déposant la nourriture sur la table. «S'il y autre chose, faites-moi signe.»

Alors que la serveuse s'éloigne, Michael a le temps de jeter un coup d'oeil plus attentif sur la salle commune. Le garde lui avait dit que l'auberge était un lieu de rencontre des Arlequins. Pourtant, tous ses instincts lui disent le contraire.

Les clients ne sont que de simples travailleurs. Il y a le maçon qui partage un verre avec le forgeron. La dans le coin le jeune barde qui discute politique et histoire avec le cordonnier. Bref, Nárin et lui partage la salle avec des artisant et des gens du peuple, pas avec des coupe-jarret et des sombres lames. Plus les secondes passent, plus Michael a des doutes sur les dires du jeune garde.
 

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