Alors que Naline fouille une section du mur nord, Diero fouille l'autre bout. Au bout d'un moment, il découvre une fente qui semble délimiter une porte. Cependant, le mécanisme d'ouverture n'est visible nulle part.
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Hallepin considère gravement le nain. «Vous savez, m'sieur Nárin, tout le monde en ville à des problèmes avec les Arlequins. Quand ce n'est pas qu'ils nous passent leur fausse monnaie, c'est qu'il tente de nous forcer à payer leur frais de 'protection'. Ceci dit, je ne tolère pas cette racaille dans mon auberge. S'ils viennent ici, ils sont suffisamment discrets que je ne les remarque. Croyez-moi après vingt ans à tenir un établissement comme celui-ci, je sais reconnaître les indésirables. Tirez-en votre propre conclusion.
Ceci-dit, m'sieu Nárin, si vous cherchez les Arlequins, vous allez avoir plus de chance d'en trouver à la Chope Versée qu'ici. Il y a plus de 'poissons' dans cet étang.»
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Féllian considère gravement Valishan. «Vous avez raison, maître Valishan. Nous tournons en rond et nous ne sommes pas plus avancé que ce midi. Il nous faut continuer, cependant. La vie des enfants, celle de notre ami et celle du familier de M. Ghelves en dépendent. Selon la carte de Mlle Naline, nous n'avons exploré qu'une partie de cette 'cité'.
Il y a autre chose que nous devons considérer. Nous sommes en fin d'après-midi, si le soir n'est pas déjà sur nous. Nous n'avons pas mangé. Plusieurs d'entre-nous sommes blessés ou épuisé. Mlle Naline ne mentionnait-elle pas qu'elle n'avait plus de leï pour nous aider ? Je crois que nous devrions considérer trouver un endroit pour se ressourcer, ou nous devrions peut-être songer à remonter à la surface.»
Fario ajoute alors : «Parlant de Mlle Naline, les deux gnomes et le prêtre n'étaient-ils pas derrière vous M. Valishan. Ils devraient être là.»