Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie (suite) [Full]

« Maintenant, pour désorienter ces créatures, le mieux est de refermer cette porte à clef. Ils ne sauront pas par où nous somme passés. »

Naline consulte sa carte, et désigne la paroi nord de la petite pièce:

« Hé! Normalement, il y a un couloir juste derrière cette cloison. Peut-être y-a-t'il un passage camouflé qui y mène. »

[HJ: Jet de fouille, sans doute peu concluant: 7+5=12.]
 

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"Bonne idée, Naline! Il se pourrait fort bien qu'un passage secret ait été construit ici. Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt?". Diero implore Avméa d'aiguiser son intuition et se joint aux efforts de la druide.

[Hors-jeu: Jet de fouille: 20 + 2 = 22 :)]

Si le jet est négatif, il descend dans le tunnel à la suite des autres, non sans avoir jeté un coup d'oeil au tas d'armures qui traînent dans cette pièce au cas où il y décèlerait un quelconque objet intéressant (bijou, gemme, bague, baguette, bâton, arme ou armure aux gravures distinctes ou peu rouillée etc).

[Hors-jeu: Jet de détection: 13 + 2 +2 = 17]
 

Alors que Naline fouille une section du mur nord, Diero fouille l'autre bout. Au bout d'un moment, il découvre une fente qui semble délimiter une porte. Cependant, le mécanisme d'ouverture n'est visible nulle part.

***************

Hallepin considère gravement le nain. «Vous savez, m'sieur Nárin, tout le monde en ville à des problèmes avec les Arlequins. Quand ce n'est pas qu'ils nous passent leur fausse monnaie, c'est qu'il tente de nous forcer à payer leur frais de 'protection'. Ceci dit, je ne tolère pas cette racaille dans mon auberge. S'ils viennent ici, ils sont suffisamment discrets que je ne les remarque. Croyez-moi après vingt ans à tenir un établissement comme celui-ci, je sais reconnaître les indésirables. Tirez-en votre propre conclusion.

Ceci-dit, m'sieu Nárin, si vous cherchez les Arlequins, vous allez avoir plus de chance d'en trouver à la Chope Versée qu'ici. Il y a plus de 'poissons' dans cet étang.»

*******************

Féllian considère gravement Valishan. «Vous avez raison, maître Valishan. Nous tournons en rond et nous ne sommes pas plus avancé que ce midi. Il nous faut continuer, cependant. La vie des enfants, celle de notre ami et celle du familier de M. Ghelves en dépendent. Selon la carte de Mlle Naline, nous n'avons exploré qu'une partie de cette 'cité'.

Il y a autre chose que nous devons considérer. Nous sommes en fin d'après-midi, si le soir n'est pas déjà sur nous. Nous n'avons pas mangé. Plusieurs d'entre-nous sommes blessés ou épuisé. Mlle Naline ne mentionnait-elle pas qu'elle n'avait plus de leï pour nous aider ? Je crois que nous devrions considérer trouver un endroit pour se ressourcer, ou nous devrions peut-être songer à remonter à la surface.»

Fario ajoute alors : «Parlant de Mlle Naline, les deux gnomes et le prêtre n'étaient-ils pas derrière vous M. Valishan. Ils devraient être là.»
 

Diero fait signe à Naline et Imay qu'il a découvert une porte dissmulée. "Peut-être que le mécanisme d'ouverture est magique et c'est pourquoi je ne réussi pas à le déceler par une fouille normale. Je ne peux non plus appeler Avméa à notre aide avant les matines." [Hors-jeu: Est-ce bien le nom des premières prières du matin dans les monastères catholiques?]

"Est-ce qu'une de vous deux aurait un moyen d'ouvrir cette porte?"
 
Last edited:

Gith Galath said:
[Hors-jeu: Est-ce bien le nom des premières prières du matin dans les monastères catholiques?]

Oui. Les heures canonicales sont, si je ne me trompe pas, matines (3:00), laudes (5:00), primes (7:00), sexte (12:00), nones (14:00), vêpres (17:00), et complies (18:00).
 

"Effectivement, je ne sais pas où sont passé les autres. Ne bougez pas je vais voir rapidement."
Puis une fois revenu à l'autre bout du passage : "Eh bien que faites vous? Vous devriez vous dépécher, le feu ne va pas duré très longtemps"
 

Nárin

Nárin considère gravement l'aubergiste à son tour. "Bon, bon, pas besoin de t'énerver, Hallepin. C'tait juste une question. Comme j'te disais, je crois que le garde qui m'a informé ne me contait que des foutaises."

Pas trop enchanté par l'idée d'aller dans une autre auberge et de questionner une autre aubergiste, Nárin retourne vers Michael tout en pensant à ce tout ce que leurs assaillants et les gardes leur ont dit. "Hier soir, ils ont attaqué un prêtre de l'Église de Saint-Grégorio" avait dit le garde qui les avait mené ici. Était-ce là un autre mensonge ou une autre piste ? En tout cas, Michael semblait intéressé par tout celà. Approchant son nouveau partenaire, il lui dit : "Bon, j'crois que nous obtiendrons rien ici. Je propose qu'on aille faire un p'tit tour à ton temple. Si un de leur membre a été attaqué, comme le disait le garde et Jill, ils savent peut-être quelque chose."
 

En effet, Jill semblait dire que le prêtre avait été attaqué parceque le clergé s'était mêlé de choses ne les concernant pas. De plus, l'ordre formelle de mon abbaye est de ne pas intervenir...
Peut-être que les Arlequins ont la main plus longue que ce que nous croyons. Il faut se rendre à l'Église de Saint-Grégorio et découvrir ce qu'à fait le prêtre pour mériter cette attaque.

Si tu es prêt, je suggère que nous partions immédiatement.
 

Nárin

"Parfait, allons s'y." Sur ce, ils se lèvent, payent la note et quittent l'auberge. Nárin range la lettre de son père dans l'une des ses poches.
 

Les deux comparses quittent donc l'auberge. En empruntant l'avenue de l'Obsidienne puis celle du Magma, ils se dirigent vers le monastère de Saint-Grégorio-de-la-Passion. C'est le plus gros monastère et la plus grosse Église de la ville. Véritable centre nerveux de la vie religieuse de Chaudière, le monastère, tenu par des grégoriens, s'impose dans le paysage architectural.

Les bâtiments qui l'entourent sont sombres et trapus. Construits d'obsidienne et de roche magmatique, ils contrastent vivement avec cette grande enceinte de marbre blanc resplendissant. Deux énormes statues gardent la porte d'entrée, masse d'arme à la main. Au-dessus de la porte, taillé dans la pierre, on peut lire en devinois : Par le devoir et le droit chemin tu trouveras l’espoir. Alors qu'ils posent le pieds sur les marches du parvis, la profonde résonnace du carillon de l'église se fait entendre. La congrégation appelle les fidèles au compiles (les prières du soirs).

Alors qu'ils entrent dans l'église, ils voient déjà les membre de la congrégation grégorienne s'installer pour les prières. Une prêtresse se tient debout devant l'autel et attends patiemment que toutes ses ouailles soient là pour commencer les chants religieux.
 

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