[Les deux soeurs] : La citadelle des ombres

Meepo s'avance et lit l'inscription sur la porte :

«Tan Aman Heka Hen»

Après un instant, il se troune vers Mélianthe et dit :

«Gentille humaine, arriver quelque chose supposé être ?»
 

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"Je m'attendais à ce que la porte s'ouvre. Je pensais que les paroles écrites sur la porte serait également une commande pour faire ouvrir la porte. Cependant, il semble que ce ne soit pas le cas, ou nous ne le faisons pas tout-à-fait comme il le faut. Si ce sont effectivement des commandes, il faut peut-être toucher la porte avec la main ou le liquide en les prononçant. J'ai surtout peur qu'il nous faille boire ce liquide infecte." Mélianthe prend quelques instants pour réfléchir.

"À moins que ce liquide ne représente l'eau bénite actuelle. En pénétrant dans l'église, nous sommes invités à porter une goutte d'eau bénite à notre front en guise de protection. Par ailleurs, l'eau bénite agit comme un acide sur les créatures maléfiques. Selon les écriteaux de la porte, si la bonté nous guide, la porte s'ouvrira. Ce liquide agirait donc comme un test afin de déterminer la pureté de nos coeurs. Toutefois, je ne sais pas exactement comment la porte est supposé savoir si nous avons passé le test..." Après un moment d'hésitation elle décide de tremper le bout d'un doigt dans le liquide.

Nella s'écrie, "Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu as perdu la boule ou quoi? Nous ne connaissons même pas la nature de ce liquide. Ça pourrait être un acide, un poison, n'importe quoi !"

"Nous allons le savoir bien assez vite," réplique Mélianthe...
 
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Le doigt de Mélianthe plonge tranquillement dans le liquide. Il est visqueux, légèrement chaud au touché. Autrement, elle ne sent aucun effet du fait de l'avoir touché.

Dorin, qui retenait son souffle, laisse échapper un long soupir. "Vous avez de ces idées parfois ma soeur ! Votre soeur a raison, ça aurait pu être un acide, du poison ou quelque chose... Enfin, vous semblez en un morceau. C'est ça l'important." Il jette tout de même un regard nerveux à Mélianthe.

"Hé le lézard, c'était quoi déja la traduction de l'inscription sur la porte ?", demande-t-il à Meepo.

"Bonté toi guider, ouvrir la voie", répond sèchement le kobold.

"Dites ma soeur, une idée comme ça, mais si guider voulais dire canaliser ou quelque chose du genre ? Est-ce qu'un prêtre peut canaliser la bonté ? Non, c'est bête... Il peut canaliser l'énergie divine, il peut lancer des sorts, mais pas canaliser la bonté... Laissez-faire, ce n'est pas une bonne idée.", reprend le nain ignorant totalement le sentiment d'amertume qu'exprimait Meepo.
 

Mélianthe enduit la paume de sa main du liquide, puis se dirige vers la porte. Elle appuis sa main sur la porte.

[OOC: si ça ne fonctionne pas, elle prends la tangeante suivante]:

"Bon, ce n'est pas ça. Votre idée n'est pas si bête que ça maître Dorin. Bien sur nous ne pouvons pas canaliser la bonté. Par contre, si l'énergie canalisée est bonne, ça pourrait représenté la même chose. Cependant, je n'ai étudié aucun sort ce matin qui relevait spécifiquement du domaine du bien. Je vais tout-de-même essayer quelque chose." En appuyant ses mains sur la porte elle lance le sort Assistance divine

[OOC : si ça ne fonctionne toujours pas] :

"Nella, peux-tu utiliser ton habileté à détecter le mal en t'appuyant sur la porte ?" Nella regarde sa soeur d'un air incrédule. "Tu veux que je fasse détection du mal sur la porte," demande Nella. "Oui, en appuyant tes mains sur la porte,"[/b] réplique Mélianthe. Nella fait ce que sa soeur lui demande, ne comprenant pas trop pourquoi.

[EDIT] Après réflexion, je laisse tomber cette action:
[OOC : si ça ne fonctionne pas] :

"Bon, je crois qu'il va falloir que nous nous reposions une peu, j'ai besoin de réfléchir, et surtout, j'aurai besoin de mémoriser une sort du domaine du bien demain matin," dclare Mélianthe.

Je la remplace plutôt par ceci:

"Si les sorts ne fonctionnent pas, qu'est-ce qui pourrait prouver la puretée de nos âmes ? Qu'est-ce qui différenciait les bons prêtres des mauvais prêtres à une telle époque, sans faire référence à la religion en tant que telle ?" Mélianthe fait les cents pas dans la pièce en réfléchissant. "Je l'ai ! Les morts-vivants ! Les bons prêtres ont la capacité de repousser les morts-vivants, tandis que les mauvais prêtres ont la capacité de les contrôler." Mélianthe se prépare donc à effectuer un revoi de morts-vivants en apposant ses mains sur la porte. [/EDIT]
 
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Le découragement se fait sentir au sein du groupe au fur et à mesure que les essais de sorts et de pouvoirs se soldes par un échec les uns après les autres.

"Vous êtes certains de ce que vous faites, ma soeur ?", demande Dorin.

"Pourquoi nous vouloir entrer dans salle ?", demande Meepo.

Pourtant, Mélianthe et Nella s'entêtent. Après avoir tenté de faire une détection contre le Mal, la porte ne s'ouvre pas. Par contre, Mélianthe sent très bien la présence d'auras maléfiques derrière la porte. La porte bloquant son champs de vision, elle n'est pas en mesure de les placer précisément, mais il y en a plus qu'une. Chaque aura est faible, mais définitvement présente.

[OOC : Je présume que Mélianthe et Nella vont continué quand même à tenter d'ouvrir la porte. Si ce n'est pas le cas, oubliez le reste.]

"Si les sorts ne fonctionnent pas, qu'est-ce qui pourrait prouver la puretée de nos âmes ? Qu'est-ce qui différenciait les bons prêtres des mauvais prêtres à une telle époque, sans faire référence à la religion en tant que telle ?" Mélianthe fait les cents pas dans la pièce en réfléchissant. "Je l'ai ! Les morts-vivants ! Les bons prêtres ont la capacité de repousser les morts-vivants, tandis que les mauvais prêtres ont la capacité de les contrôler."

Mélianthe s'avance vers la porte et tentant de garder tout son sérieux, après tout tenter de repousser une porte, il y a quelque chose de comique, elle incante : «Par Avméa et toute sa puissance, arrière, suppot de Délénor !»

[Jet de renvoi = 13 (12+1CHA), DV max affecté = 4 (3e niveau +1)]

À ces mots, les bas-reliefs sur la porte s'illuminent d'une lumière interne. Un déclic se fait entendre et la porte s'entre-ouvre, laissant échapper une odeur de renfermé et de décomposition.
 

Aussitôt que la porte s'ouvre, Nella se place devant le groupe et fait signe de reculer. Elle sort son épée longue et refait une détection du mal. S'il y avait des auras maléfiques derrières la porte, elle sont peut-être encore là.

Mélianthe suit sa soeur et dégaine sa morgenstern. "Il faut se préparer à toute éventualité," murmure Mélianthe.
 

Nella se place, sens aux aguets, devant la porte. Elle cherche au plus profond d'elle-même le pouvoir que lui a conféré Avméa. Elle sait que le Mal est présent dans cette chambre, Avméa le lui a révélé. Mais où se trouve-t-il ?

C'est une pièce de taille similaire à celle où se trouve le groupe qui est révélée derrière la porte. Cinq sarcophages ont été placés debout le long des murs cette chambre silencieuse. Trois sont placés le long du mur à votre droite, deux le long du mur à votre gauche. Les sarcophages de pierre taillée protent tous l'effigie d'un elfe à l'apparence noble, vêtus de robe cérémoniales. Au fond de la pièce se troive ne petite niche en obsidienne taillée. Une chandelle y a été placée et elle brûle toujours fournissant un éclairage lugubre à la chambre.

Nella se concentre. Il y a bel et bien cinq auras Maléfiques dans cette pièce. Les auras ne sont pas puissantes, mais elles émanent des sarcophages, elle en est certaine.

Derrière elle, Drest fait les cents pas jettant un regard nerveux à la pièce. Il n'a pas l'air très intéresser à y mettre les pattes.

Dorin, voyant Mélianthe et Nella s'armer, pousse un soupir : «Je n'aime pas ça, je n'aime vraiment pas ça !». Ce faisant, il s'avance, hâche à la main, se plaçant dos au mur à côté de la porte.

Actions ?
 
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Nella décrit la pièce rapidement pour ses compagnons. Laissant transparaître une touche de nervosité, elle leur dit, "il y a cinq sarcophages dans la pièce qui émettent de faibles auras maléfiques." Nella ouvre un peu la porte pour laisser de la place à Mélianthe et Dorin. Par contre elle n'entre pas dans la pièce, mais se contente plutôt d'observer les sarcophages quelques instants.

[OOC : si après quelques minutes les sarcophages ne se sont pas ouvert, Nella entre dans la pièce.]
 

Nella attend patiemment. Rien ne semble bouger dans cette pièce lugubre. Elle ne peux s'empêcher de frisonner tellement cette pièce lui fout la trouille. Pourtant, tout semble calme.

Nella pousse la porte pour laisser entre-voir la pièce à Mélianthe et Dorin. Elle appose sa main sur la porte et pousse légèrement.

Elle fait un pas et pénètre dans la salle. Tout semble calme.

Meepo pour sa part, se content de rester à l'écart : «Meepo garder les arrières», dit-il sous le regard désaprobateur de Dorin.

Drest fait toujours les cents pas mélangeant grognement et plaintes.
 

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Nella reste clouée sur place. En tant que chevalière, elle se doit d'éliminer toutes les forces du mal qu'elle rencontre. Cepedant, l'atmosphère de cette pièce est tellement lourde et lugubre que Nella ne peut s'empêcher d'avoir la frousse.

Mélianthe en profite pour entrer dans la pièce. D'une main, elle tient sa lanterne, de l'autre elle tient fermement sa morgenstern. Mélianthe se dirige vers le premier sarcophage à gauche. Sans y toucher elle examine la surface du sarcophage, cherchant des inscriptions, des symboles, examinant les détails.
 

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