• The VOIDRUNNER'S CODEX is coming! Explore new worlds, fight oppressive empires, fend off fearsome aliens, and wield deadly psionics with this comprehensive boxed set expansion for 5E and A5E!

Les Terres Anciennes [UPDATED 24/03/03]

Sammael99

First Post
Si vous souhaitez contribuer au brainstorming sur le prochain scénar, vous pouvez vous rendre ici

Mais évidemment, ça fera un peu office de spoiler pour la suite... Vous êtes prévenus...
 

log in or register to remove this ad

Horacio

LostInBrittany
Supporter
Sammael99 said:
Si vous souhaitez contribuer au brainstorming sur le prochain scénar, vous pouvez vous rendre ici

Mais évidemment, ça fera un peu office de spoiler pour la suite... Vous êtes prévenus...

Brainstorming & spoilers!

Cool :)

(Ben, ton Français est en train de devenir si mauvais que le mien... ;))
 

Sammael99

First Post
Horacio said:


Brainstorming & spoilers!

Cool :)

(Ben, ton Français est en train de devenir si mauvais que le mien... ;))

Le tien est très bien Horacio. Le mien s'enworldise et s'erpgnetise à la fois ;)

Je t'attends sur l'autre thread !
 

Sammael99

First Post
Une Etrange Invasion (Part 3)

Un campement de fortune est installé non loin du champ de bataille, de manière à garder le minotaure attaché où il est. Avec l'aide de Sküm, ce dernier a repris un peu de couleurs et il semble qu'un étrange courant sinon d'amitié, au moins de compassion circule entre les deux guerriers.

L'état de Mélian s'est également stabilisé, grâce aux soins prodigués par Lothar. Jamais à cours d'initiatives, le prêtre se propose de préparer un feu, qu'il allume à proximité de leur prisonnier pour que celui-ci puisse profiter de la chaleur. Son affaire faite, le bienfaiteur s'agenouille et remercie à voix basse sa déesse Zenda, pour l'avoir « protégé, lui et ses amis d'une mort certaine ». Quant au capitaine Lyrel et à ses hommes, exténués, ils se sont couchés à proximité sans même daigner prendre congé de leurs sauveurs.

Le gnome s'occupe un moment à manipuler la sphère de cristal trouvée sur un cadavre de minotaure. L'objet n’évoque rien pour lui, une boussole peut-être, en tous cas pas plus que la carte côtière issue des effets d'une autre de ces bêtes féroces.

Mais c'est surtout le sorcier de Magmel qui inquiète Erasmus autant qu'il le fascine. Le mage n'en finit pas de dévisager cet étrange personnage, qui compulse un livre, assis sur une souche. La vision de cette lyre ailée que porte Mélian en broche provoque en lui des frissons d'angoisse à la pensée de cet homme, membre de la même guilde, qui s'est juré de lui faire payer la mort de son frère…

- Dis-moi, l'ami, que signifie cette broche qu'arbore ton habit ? interroge le gnome d'un air faussement détaché.

- Appartiendrais-tu à une confrérie concurrente de la guilde de Haute Magie ? renchérit Lothar que la conversation a sorti de sa méditation.

Abandonnant sa lecture, Mélian se redresse et réfléchit un instant à sa réponse :

- A vrai dire, exprime-t-il posément, j'ai été moi-même membre de cette guilde.

- Alors pourquoi l'as-tu quittée ? s’interroge Erasmus.

- J'ai découvert une magie plus… brute, plus spontanée aussi, tente d'expliquer l'homme. « l'Art de Sahadyn ».

- Plus puissante aussi ? s'alarme le gnome dont le regard trahit la crainte mais aussi une certaine envie…

- Pas forcément, mais en tout cas plus libre…

- Cela signifie-t-il que votre magie échappe à la supervision du Culte de Mezrâ ? s’enquiert Lothar.

- Non, je ne pense pas. A ma connaissance, les mages triangulateurs n'ont jamais manifesté d'inquiétude ou d'hostilité particulière à notre égard. Notre art est libre, et notre magie permet le recours à de nombreux effets magiques… Il n'en demeure pas moins que nous nous faisons un devoir de l'utiliser à bon escient…

- Mais votre magie est à usage individuel. Si l'un de vous s'écarte du droit chemin, vous n'aurez plus aucun contrôle sur lui, argumente le prêtre, dont la méfiance est désormais plus qu'apparente.

- Vous vous trompez sur nous, lui oppose le sorcier. Certes chacun de nous exerce son art en toute liberté et indépendance, mais nous savons nous serrer les coudes et agir en groupe. Les adeptes de Sahadyn forment un véritable réseau d'entraide.

L'homme s'interrompt un instant.

- Sachez même pour votre gouverne que notre devise est « Solitaires, mais solidaires ».

Les yeux du gnome dissimulent à peine l'envoûtement provoqué par les propos de Mélian. Son malaise est perceptible et le sorcier ressent avec jouissance la portée qu'ont eu ses propos sur le mage. Approchant son poing d'Erasmus médusé, il ouvre la main devant son visage et fait apparaître de minuscules êtres de flammes qui dansent sur sa paume.

- Tu serais peut-être intéressé de nous rejoindre, mon ami ?

Troublé, le gnome ne sait que répondre à cette proposition. « Tu devrais plutôt aller te coucher », interrompt Lothar. « Il faut que tu sois vite capable de parler à celui-ci », continue-t-il en désignant le minotaure, « et j'ai cru comprendre que tu avais besoin de plusieurs heures d'étude pour y arriver ».

Hagard, Erasmus s'isole et ouvre machinalement un livre pioché dans sa besace. Lothar reprend ses prières, tandis que Sküm, las de donner à boire au prisonnier et de panser ses blessures, s'est assoupi non loin de la bête.

Au petit matin, un épais brouillard recouvre le camp. Dernier levé, fatigué par ses études de la veille, Erasmus sort péniblement de sa torpeur amplifiée par des songes peuplés de sorciers de Sahadyn, de mages triangulateurs et de minotaures… Lothar est quant à lui plus qu'opérationnel, puisqu'il a pu soigner quelques-uns des gardes et semble prêt à partir.

- Mon bon Erasmus, Lyrel et moi-même avons décidé de ramener ce matin les blessés à Brandebourg. Cela te laissera le temps nécessaire pour préparer ton sortilège, et donnera l’occasion à Sküm et Mélian de reprendre des forces et de soigner notre détenu. J'espère que nous pourrons l’interroger à mon retour, nous devons comprendre ce qui se passe ici…

« Je vais éclairer votre départ », propose Mélian. Le sorcier se met alors à faire tourner son doigt, puis le pointe vers le brouillard, qui s'écarte lentement sous son pouvoir. L'assistance est ébahie… Humilié, Erasmus singe le geste de son concurrent pour faire signe à Korg de s'écarter, lui aussi !

Quelques heures plus tard, un cheval s'approche à grand galop du campement : le prêtre est de retour, seul, comme prévu.

- Tout s'est bien passé ? s'enquiert Sküm

- Certes oui, le rassure Lothar. J'ai remis les blessés sous la protection de votre compagnon Garwin, ils se rétabliront. Mais je ne partage guère la façon de penser du capitaine Lyrel…

- Pourquoi donc ?

- Lyrel a défendu auprès du Chevalier Garwin que les hommes-taureaux comme notre ami ici présent venaient de Glass. Il pense que les minotaures ont rasé les deux villages et ambitionne de faire confirmer ses dires par notre prisonnier. Je ne partage pas ce point de vue, rien ne dit que ces êtres nous veuillent du mal, encore moins qu'ils viennent des territoires de Glass.

Le gnome coupe court à la discussion : « nous aurons bien l'occasion d'en discuter un fois que nous… » Erasmus s'interrompt soudainement, troublé semble-t-il par une légère douleur au côté.

- Quelque chose ne va pas, Erasmus ? se préoccupe Lothar.

- Si ça va, c’est cette chose, répond le gnome en sortant à grand peine la sphère de cristal de son paquetage.

La sphère s’est en effet mise à vibrer…

Sküm et Mélian rejoignent les deux hommes pour observer la scène. Au centre de la sphère, des particules jaunes éparses se trouvent en suspension. Leur mutation est lente, mais perceptible : elles s'homogénéisent d'un côté de la sphère et prennent une couleur orangée. Intrigué, le mage soulève l'objet pour mieux l'examiner à la lumière du soleil. Son geste effraie une volée d'oiseaux qui s'éloigne dans un bruissement d'ailes.

« Montre la à l’homme-taureau », suggère le prêtre de Zendâ à Erasmus. Le gnome s'approche du prisonnier à cornes, l'orbe à la main. A la seule vue de l'objet, la bête blêmit de terreur. Poussant des mugissements terribles, le détenu se débat avec vigueur et désigne sa hache de la tête, son regard de profonde détresse incitant presque Sküm à lui donner satisfaction.

Lothar regarde le gnome qui fait un geste d'impuissance. « Je n’ai pas eu le temps de terminer l’interprétation du sortilège. Désolé… » Mais il y a urgence.

- Mélian, demande Lothar, peux-tu improviser un sortilège pour parler à l’homme taureau ?».

- Je suis encore faible, répond le sorcier, mais je vais essayer…

L'adepte de Sahadyn serre ses mains, lance une courte incantation et porte ses paumes à sa bouche. Pâle, mais concentré, il adresse à l'encontre de l’homme taureau des phonèmes que la bête semble comprendre : une discussion s'engage…

« Il dit que son peuple se nomme Minautore. Il est inquiet… » restitue Mélian pour commencer.

- Ca, on s'en doutait, rétorque Sküm, mais de quoi ???

Le prisonnier s'agite de plus belle…
- Je ne comprends pas bien. Ils chassent des créatures… L'orbe…. sa couleur signifie que les créatures s'approchent…Il veut son arme pour se défendre…

Sans que personne ne trouve à y redire, le demi-orque se saisit de la hache, se dirige vers la bête et la libère de ses liens.

- Attendez s'exclame Mélian, il continue, …Il dit qu'ils chassaient la Reine…la boule, cela veut dire qu'elle n'est plus seule, mais que ses enfants sont là… La reine a pondu… La reine a pondu… La reine a pondu, il n'arrête pas de répéter cela…

Debout, équipé de son arme, le minotaure observe avec angoisse les environs, prêt à frapper. Son regard se pose sur la sphère de cristal, dont les particules sont devenues rouge sang. Sentant que l'heure n'est plus aux questions, le gnome range l'orbe dans son sac et s'arme de sa dague, tandis que Sküm se saisit d’un bouclier minotaure et, à la grande surprise d'Erasmus, de l'épée de Varnôn…

Le groupe s'apprête à se battre contre un ennemi dont il ne connaît ni le nombre, ni la puissance. La densité du brouillard ajoute à la tension ambiante, alors que de faibles sifflements sont audibles, entrecoupés de cliquetis irréguliers…

Lothar tente de discerner des formes ou le nombre des assaillants, mais l'épaisseur du brouillard rend sa tentative vaine. « Mélian, peux-tu le dissiper ? » adresse-t-il au sorcier en indiquant une direction d'où proviennent des sifflements plus stridents. Livide, ce dernier parvient encore à créer un tourbillon d’air qui, s'échappant de ses mains cadavériques, ouvre une trouée dans le nuage environnant. A une trentaine de pas devant eux, leur regard se pose sur deux êtres chitineux dont la partie arrière est un immense corps de fourmi prolongées à l’avant par un torse vaguement humanoïde. Leur visage est orné de mandibules qui dégoulinent d'un liquide verdâtre.

Le prisonnier marmonne bruyamment des paroles, que Mélian s'empresse de traduire ; « Il dit que…qu'est-ce que cela veut dire ? ah oui… Ce, ce sont des ouvrières…. Attention, elles sont souvent escortées par des soldats… »

- Mélian, peux-tu leur parler ? propose le clerc. Comme si la question de Lothar s'adressait à lui, et surtout comme s'il l'avait comprise, le minotaure répond à son traducteur. « Il dit que….qu'ils ne parlent pas vraiment !!! »

- Mais il faut essayer !!! s'entête le pacifiste du groupe, tandis que Sküm et Erasmus se préparent au combat.

Malgré sa faiblesse apparente, le sorcier exécute docilement les instructions de Lothar. Le langage de ces insectes est une succession de bruits légers faits par leurs mandibules qui s'entrechoquent : « Je ne comprends pas grand chose….c'est très rudimentaire…elles parlent de nourriture et de…sacs à larves ».

« Attention, d'autres arrivent ! », alerte Sküm en montrant à la droite des premières un groupe de 4 autres de ces hommes-insectes, dont 3, beaucoup plus grosses que les premières, sont identifiées comme les « soldats » annoncés par le minotaure. Leur pas rapide, leurs mandibules dressées et acérées ne laissent aucun doute sur leurs intentions belliqueuses.

C'est le gnome qui déclenche finalement les hostilités en décochant un carreau d'arbalète, qui atteint une ouvrière à l'abdomen. Le mage trouve encore le temps de diriger sur ces adversaires lointains un sortilège de sommeil, pendant que Lothar organise les troupes pour la réception des ennemis au corps-à-corps. Une ouvrière s'écroule sous la puissance de sa magie, mais Erasmus, en pleine concentration, n'a pas vu fondre sur lui un de ces redoutables soldats. L'insecte, qui fait près du triple de sa taille, tente alors de lui trancher la bras, mais, par chance, la mandibule manque sa cible…

Un autre de ces soldats fait maintenant face à Sküm. Feintant une attaque frontale à l'aide de ses mandibules, l'insecte se redresse brusquement et tente de transpercer le demi-orque avec un dard situé sous l’abdomen et dégoulinant d’acide. Le coup évite de quelques centimètres son bouclier, pour se planter dans le mollet du rude guerrier.

Sentant son compagnon en danger, Lothar se rue sur l'assaillant de Sküm avec une sauvagerie dont on ne l’aurait pas cru capable. La vitesse de son bras et la justesse de ses coups sont déconcertantes : on dirait qu'il se bat contre de vulgaires brigands. Il n'en faut pas plus pour réveiller la soif de sang du demi-orque qui, d'un coup d'épée rageur, tranche l'insecte par la taille. Dans un dernier baroud d'honneur, la fourmi-garde tente en vain d'éperonner son adversaire, mais son dard se heurte à un bouclier.

Désormais le groupe des hommes-insectes est au complet et encercle le campement. Deux nouvelles ouvrières arrivent au corps-à-corps contre Lothar, tandis qu'un groupe de 2 gardes et d'une ouvrière fait maintenant face au minotaure, à Mélian et à Erasmus. Sentant que le gnome n'est pas d'envergure à faire face à son opposant, le sorcier – plus que jamais blanc comme un linge - pointe un doigt sur le garde qui se retrouve soudain plaqué brutalement sur le sol. Sonné, l'homme-fourmi se retrouve à terre devant le minotaure, qu'il parvient à agripper, en dépit de sa position. Le minotaure, immobilisé par l'étreinte, voit un dard se planter dans son pied. L'injection du venin acide de l'insecte provoque chez le colosse un mugissement de douleur.

Hors d'atteinte, Erasmus se saisit de 3 coques de noix au fond de sa poche à ingrédients, qu'il broie dans ses mains avant de diriger son sortilège vers un groupe de 2 ouvrières. L'une d'entre elles, prise alors d'un accès de démence, se rue sur un soldat de son propre camp !!!

Lothar s'escrime à se défendre contre ses deux opposantes, mais ne peut éviter un coup de dard qui lui transperce la cuisse. Il est heureusement vite secondé par Sküm, qui vient de se débarrasser avec aisance d'un autre vis-à-vis. Galvanisé par ce renfort, le prêtre réussit un assaut magistral qui tranche l'abdomen de l'une des ouvrières.

Bien que proche de s'effondrer, Mélian, comprenant que leur prisonnier a grandement besoin d'aide, a de nouveau efficacement recours à sa magie. Son geste provoque l'insertion d'un rideau de feu entre le minotaure et son bourreau, dont les flammes grillent la carapace de l'insecte. Ebranlé, l'homme-fourmi doit lâcher prise d'autant qu'il doit encaisser un projectile acide lancé par Erasmus. Livide et presque broyé, le minotaure s'affale à terre, mais il est hors de portée.

L'affrontement tourne progressivement à l'avantage de nos héros, à mesure que d'un côté Sküm et Lothar prennent le dessus au corps-à-corps, et de l'autre, les magies conjuguées de Mélian et d'Erasmus affaiblissent les ennemis. Quant au minotaure, même mal en point, il est en mesure d'achever à sa manière le travail de sape fait par les deux lanceurs de sorts.

Le prêtre trouve le temps de prodiguer des soins de fortune en faveur du prisonnier. Mais l'animal se tord encore de douleur sous l'effet persistent de l’acide qui a pénétré son sang. Les yeux mi-clos, Lothar pose ses deux paumes sur la blessure du minotaure : « Zenda, daigne protéger mon compagnon des ravages de cet acide », chante-t’il.

Les bruits de combat s'estompent, mais ne laissent guère place au silence de la forêt. Au loin, mais avec une intensité croissante, se font à nouveau entendre des cliquetis, cette fois très ordonnés. "Des soldats…..beaucoup ! " comprend Sküm. Sans attendre que Lothar l'y invite, le sorcier puise dans ce qu'il lui reste de force vitale pour dissiper le brouillard dans la direction supposée des assaillants. Son action fait la lumière sur pas moins 8 soldats fourmis, qui avancent vers eux au pas cadencé !!!

Même l'optimisme légendaire de Lothar ne peut l'empêcher de penser qu'un tel combat est perdu d'avance, a fortiori avec des combattants diminués. Confiant dans ses pouvoirs arcaniques, Erasmus se concentre longuement, tonne une incantation à voix grave, avant de déployer ses bras vers le soleil pour déclencher son effet. Une immense tempête de glace s'abat sur l'ennemi, l'espoir renaît un instant car les hommes-fourmis encaissent péniblement.

Le gnome pense en voir éliminé la moitié, et affaibli sérieusement l'autre. Mais stupeur, la troupe entière de fourmis reprend sa marche… Le mage est stupéfait par une telle résistance et commence à programmer sa fuite, tandis que Sküm et Lothar demeurent interdits, tournés vers lui, en quête d'explications au manque d'effets de son puissant sortilège.

L'angoisse est à son comble et vire à la panique la plus complète. Proche de la cataplexie, Mélian semble vouloir entreprendre quelque chose… Sans réaction, ses amis l'observent devenir plus cadavérique encore, au point qu'apparaissent nettement sur sa peau des pigments jaunes, signes inquiétants d'une décomposition avancée. Tendant les bras vers le groupe de soldats, le sorcier fait partir de ses mains un éclair, qui atteint le premier d'entre eux, puis, comme par l'effet d'une réaction en chaîne, frappe ses alliés. Pas un homme-fourmi n'y survit, mais le sorcier, jaunâtre, s'est écroulé avant même de s'en assurer…

Lothar se précipite au secours de leur compagnon et lui restitue toute l'énergie vitale dont il est capable. Il vivra…

Encore troublé, le prêtre hurle à l'encontre du gnome : « Erasmus, la Reine, sors la boule, il faut faire vite !!! » Le mage s'exécute machinalement. Les particules jaunes de cette curieuse boussole indiquent clairement une direction. « Il faut faire vite », reprend Lothar. Elle peut pondre de nouveau…

« Certes », se dit le gnome, « mais de quoi sommes-nous capables pour le moment ? »
 

Horacio

LostInBrittany
Supporter
Wow! Un update!!!

Cool :)


BTW, Ben, ce weekend j'arrive a Paris... Je suis pas encore sur d'ou je vais y habiter, mais je serais la... :D
 

Gez

First Post
Yaha ! un nouvel épisode ! Une mise à jour ! Une suite (ça y est, j'ai trouvé un mot français plus court qu'update) !

J'vais lire ça tout de suite, et j'édite pour les commentaires après.

*TOUT DE SUITE*

*APRES*

C'est bien intrigant toute cette histoire. Si les minotaures en ont après les formiens, que s'est-il passé au village rasé ? Pourquoi le combat contre gardes ? A quoi était due l'inefficacité apparente de la tempête de glace ? Mélian qui s'épuise en lançant ses sorts, c'est normal, simple effect cosmétique chez tout les sorciers (on peut se demander ce qu'ils y trouve de plaisant alors), où il a un moyen d'aller au-delà de ses forces ?
 
Last edited:

Sammael99

First Post
Gez said:
C'est bien intrigant toute cette histoire. Si les minotaures en ont après les formiens, que s'est-il passé au village rasé ? Pourquoi le combat contre gardes ? A quoi était due l'inefficacité apparente de la tempête de glace ? Mélian qui s'épuise en lançant ses sorts, c'est normal, simple effect cosmétique chez tout les sorciers (on peut se demander ce qu'ils y trouve de plaisant alors), où il a un moyen d'aller au-delà de ses forces ?

Je ne connais pas toutes les réponses et je veux ménager le suspense mais...

A ce stade, l'interprétation que nous faisions des villages rasés était que les minos poursuivaient les formiens (en fait, a posteriori, sans doute que la Reine) et que les combats s'y étaient déroulés.

Ce sont les gardes de Garwin qui ont attaqué les minos, persuadés d'avoir trouvé ceux qui avaient rasé leurs villages.

L'Ice Storm a merdé parceque les Formiens sont Cold Resistent, donc ils n'ont pris que 2/5 des dégats.

Il a un moyen d'aller au-delà de ses forces et c'est ce qu'il faisait en l'occurence. Tel que je le comprends il peut sacrifier des PVs pour alimenter ces sorts. Philippe (le MJ de cette partie de la campagne) ne nous a pas communiqué les détails ;)
 

Gez

First Post
Mais enfin ! fin... fin...

C'est tout vide ici ! dici... ci...

Il faut remplir avec quelques comptes-rendus, sinon forcément ça résonne et il y a des échos. écho... écho... écho... co... co... o...
 


Sammael99

First Post
Ouaip...

Ca me déprime aussi...

Quand je me suis rendu compte qu'on avait joué seulement six fois depuis Septembre et encore, des séances bien courtes, ça m'a un peu scié les jambes...

Pour les compte-rendus on attend celui de Chloé pour le nettoyage du terrier des Formians, puis un interlude qui est déjà rédigé. Mais Chloé a un petit bonhomme qui ne laisse pas ses parents dormir en ce moment, et elle profite donc des heures dispo pour choper un peu de sommeil. Je ne peux pas lui en vouloir, je suis passé par là récemment (et y repasserais sans doute...)

Tout ça pour dire que la campagne avance à la vitesse d'un escargot sous anesthesiant... Comme en témoigne ce thread :(
 

Remove ads

Top