Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie (suite) [Full]

Réanchêner? C'est assez poétique, d'une façon végétale, mais ouille, heureusement que je ne buvais rien, parce que ça surprend dur de voir un truc pareil...

Naline rejoint Imay pour voir si elle arrive à ouvrir la porte.
 

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Diero demande à Silence de survoler le hall afin de détecter tout mouvement ou présence inhabituelle. "Quoique tout ceci est inhabituel pour un brancisois" se dit-il. Puis il se dirige vers l'arche à l'autre extrémité pour voir se quoi il débouche. Il demande à Valishan et à un demi-elfe s'ils désirent l'accompagner. Ses récentes expériences lui ont fait comprendre que de se déplacer seul dans un endroit pareil n'est pas une bonne idée.
 

Valishan avance prudement. Voyant Imay puis Naline s'éloigner il dit : "Faites attention ou vous mettez les pieds, mesdemoiselles" en se souvenant de sa propre mésaventure.
 

Au commentaire de Valishan, Imay s'arrête brusquement. Comment aurais-telle pu oublier ça? La curiosité semble digirer son cerveau depuis qu'ils ont découvert cette clé... Tout-de-même, elle reprend la direction de la porte, mais en gardant les yeux grand ouverts.
 

Faust_Fendell said:
"Ca fait vraiment plaisir de se battre à tes côtés. Je te remercie de ton aide cher Nárin, essaye de trouver l'objet que leur chef leur a remis ou d'autres indices pendant que je vais voir les gardes"

Micheal se relève et va en direction des soldats qui s'approchent...

"Il était temps que vous arriviez! C'est deux hommes ont essayés de nous tuer! Ils ont assomé et volé mon ami. Nous avons réussis à les capturer mais leur chef a réussi à s'enfuir en escaladant le mur. (Micheal leur fait une dercription de la femme) Vous devriez lancer une recherche. "

Micheal se tient devant les deux gardes et leur laisse le temps de répondre avant de réanchêner...
«Très bien, nous allons nous occuper de ces malfrats. Pour ce qui est de la chef, elle est déjà loin. Vous avez certainement rencontré Jill. C'est elle qui contrôle le quartier pour les Arlequins. Elle était déjà derrière l'attaque sur le frère Laro, hier soir. Les Arlequins doivent avoir une dent contre l'Église. Si vous voulez parler au prisonniers, mon frère, vous pourrez le faire demain matin à l'Hotel de la Garde.»

Le sergeant jette un regard qui ne laisse aucun doute sur son intention. Il n'y aura pas de place à discussion sur ce point.

«Maintenant, si votre... euh... compagnon a terminé de récupérer son bien...»

**************

Pendant ce temps, Naline, Imay et les autre pénètrent dans la salle. Il n'y a aucun doute que cette salle servait autre fois de réfectoire. Cependant, elle semble inutilisé depuis belle lurette. Tout est couvert de poussière.

La porte vers laquelle se dirige Imay est gravée de la rune E.

Silence qui survole la salle, évitant soigneusement les chandelliers, revient se percher sur l'épaule de son maître. Elle se met ensuite à nettoyer ses plumes dans la plus grande détente.
 

"Mademoiselle Naline, nous pourrions nous séparer la tâche. Je me propose d'examiner les portes sur le mur Est. Chacune de son côté, nous pourrons nous rejoindre au fond de la salle ? Qu'en pensez-vous ?"
 

Nárin

Nárin sourit en tâtant sa nouvelle bourse. Il n'est pas un voleur mais il n'éprouve aucun remord à prendre une petite 'compensation' pour un coup à la tête et une flèche dans la cuisse. Il récupère également son marteau lancé plus tôt.

Voyant l'attitude des gardes, Nárin leur laisse le soin de leurs prisonniers. "Bon parfait, occupez vous de ces minables. Mais ils sont mieux d'avoir plus qu'une nuit dans une cellule parce que j'vais pas être trop content dans ce cas là. En plus, si vous en connaissez tant sur c'te fameuse femelle, j'me 'mande bien pourquoi vous l'arrêtez pas." Nárin s'apprête alors à quitter les lieux.
 

Le garde sourit aux interrogations de Nárin. «La question n'est pas de l'arrêter, c'est de réussir à mettre le grapin dessus. Elle est aussi rusée qu'un renard. Nous la connaissons simplement de réputation. Elle change régulièrement d'apparence et nous n'avons que très rarement des descriptions qui concordent. Nous ne pouvons tout même pas mettre toutes les femme de Chaudière dans un cachot !

Pour ce qui est de la punition, ne vous en faîtes pas, la geole n'est pas très confortable pour les membres des Arlequins. Le maire a une dent contre eux.»
 

WOW ! Des insultes publiques pour une fote d'ortograf.

C'est à se demender pourquoi l'histoire nous a ensègné que plusieurs peuples ont voulu exterminer les francais.
 

Imay said:
« Mademoiselle Naline, nous pourrions nous séparer la tâche. Je me propose d'examiner les portes sur le mur Est. Chacune de son côté, nous pourrons nous rejoindre au fond de la salle ? Qu'en pensez-vous ? »

« D'accord. »
 
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