Une ville enchaînée : Le Bazar de la vie III [Full]

[Julie]

Imay s'empresse de libérer les enfants. [HJ: elle fouille Kazmojen à a recherche des clés]"Vous allez pouvoir rentrer chez vous très bientôt et, oui, il est parti le méchant. Dites, savez-vous s'il y a d'autres hôtages ici," demande Imay en pensant à ses parents.

Valishan garde un oeil sur le prisonnier en attendant.

 

[Guillaume]

Naline lu le parchemin. L'énergie divine se dissipa et les blessures de Féllian se refermèrent. Le demi-elfe ouvrit les yeux. «Ouille ! J'ai l'impression d'avoir été piétiné par un dragon !» Il jeta un regard autour de lui et il compris rapidement ce qu'il y avait à faire. Pendant que Naline donnait une potion à Altran et à Nárin, il jeta un sort sur son compagnon d'armes. En quelques instants, tous le monde était sur pieds, même si tous parraissaient un peu amochés. Fario particulièrement qui semblait encore faible et chancelant.

La réponse d'Imay paru récomforter les enfants. C'est le nain qui lui répondit. «Il nous gardait dans des cellules pas très loin d'ici. Nous sommes arrivés par la porte là», dit-il en pointant la porte à l'ouest.

Pendant ce temps, Imay fouillait Kazmojen. En lui enlevant son haume elle découvrit le visage d'un nain difforme à la peau verte et avec un énorme nez verru. Sa bouch était remplie de crocs accérés. Cette horreur rappelait à Imay à la fois les nains et les trolls.

Il avait en sa possession quatre clés, une bourse contenant une bonne poignée de couronnes et, en plus de sa redoutable urgosh et son armure, quatre hache de jet. Alors qu'Imay s'apprêtait à se relever pour aller libérer les enfants, elle vit Kazmojen bouger. L'horreur respirait encore. Ses blessures se refermaient. Il semblait guérir de lui même !

 

[Julie]

"Non, non, non. Pas encore. Cette ordure ne veux pas mourrir. Je vais te sectionner la tête et on verra si tu réussis à te regénérer après ça," s'écrie Imay, furieuse. Elle agrippe solidement son épée courte, prend son élan et tente de faire rouler la tête du chevalier noir. [HJ: coup de grace: 3 + 6 + 5 + 6 = 20]

 

[Guillaume]

D'un grand coup d'épée, la tête de Kazmojen roula !

 

[Gez]

Un fois remis sur pied, Altran fait couler de l'huile de lanterne sur les deux plaies du coup tranché de Kazmojen, avant d'y mettre le feu !
« Je ne pense pas qu'il puisse faire repousser quoi que ce soit dans de telles conditions ! Les trolls n'aiment pas le feu, dit-on... »

« Bon, le hobgobelin, rend-toi utile et dis-nous combien de gardes y-a t'il derrière cette porte, » ordonne Naline en pointant la porte désignée par le nain libéré.

 

[Guillaume]

Le hobgobelin hésitat un instant, puis il indiqua : «Pas beaucoup. Krylscar dans bloc B. Zarkad dans salle de plaisir. Deux comme ça,» en pointant l'automate «Quelques gobelins dans forge et cuisine.»

 

[Gez]

« Deux automates, hein ? Sais-tu d'où ils proviennent ? »
Naline se dit que si ces automates était déjà là, il faudra leur parler en nain, tandis que s'ils viennent de Jzadirune, il faudra leur parler en gnome.

Altran, quant à lui, n'aime pas trop la mention d'une "salle de plaisir"...

 

[Guillaume]

À la question de Naline, l'hobgobelin haussa simplement les épaules.

 

[Gez]

« Bon, deux hobgobelins, deux automates, et quelques gobelins. S'il y en a plus, on règle son compte au prisonnier avant le combat, d'accord ? Imay, la porte est-elle ouverte, ou faudra-t'il convaincre le tas de ferraille de fonctionner, pour une fois ? »

Naline, stressée par la violence des combats, l'ignominie des esclavagistes, et la présence de l'objectif tout proche, a les nerfs à vif.

Altran inspecte soupçonneusement le corps de Kazmojen, cherchant des traces d'animations. « Ainsi donc, c'était lui la moitié de nain. Quand je pense qu'on avait interprété ce passage de l'oracle comme faisant référence à un allié potentiel... »

 

[Julie]

Après avoir libéré les enfants, Imay examine la porte ouest. S'adressant à ses compagnons, Imay demande: "Ne devrions-nous pas escorter les enfants en lieu sûr avant de continuer," puis s'adressant aux enfant, "À moins que vous voulez surveiller ce méchant en attendant notre retour."