Guillaume
Julie and I miss her
Altran débute son incantation de charme personne dès que les hommes font leur entrée. C'est celui qui s'appelle Malek qui est visé, celui qui avait semblé être le plus autoritaire en l'absence du chef de bande. Le fluide s'insinue dans l'esprit du garde et ce dernier ne semble pas imposer de résistance.
«Nous somme venus pour donner notre témoignage à la justice. Mais avant de le faire, je voulais savoir pourquoi vous avez fait ce que vous avez fait. Je ne crois pas que ce soit votre idée de vous attaquer au prêtre. Si nous pouvions dire à la justice qui était vraiment responsable, nous pourrions recommander qu'ils soient cléments envers vous. N'ayez pas peur de représailles - c'est l'intention de la garde et de l'église de vous protéger. Maintenant, dites-moi: Qui est cette Jill que nous avons entendu mentionnée? Qu'est-ce que vous savez auprès des disparitions?», dit Altran.
Le garde lève la tête. Le eccymoses qui couvrent son visage son violacées, l'oeil droit est pratiquement complètement fermé.
«Jill est une amie, nous partageons un verre avec elle de temps à autre. Nous savions qu'elle avait des contact au sein des Arlequins, mais nous n'avions rien dit. Nous ne l'avions jamais vue ou prise sur le fait en train de commettre quoique ce soit d'illégal. Bref, Jil nous a demandé il y a deux jour de faire peur au prêtres pour qu'ils abandonnent les recherches pour les enfants. On devait seulement leur faire peur et elle nous paierait quelques couronnes pour le travail. Avec le salaire que nous faisons, l'offre était alléchante. Nous pensions qu'il n'y avait pas grand risque. De toutes façons, les prêtres vivent bien, une petite frousse ne leur aurait pas fait trop de mal et nous aurions pu nourir un peu mieux nos familles. Bref, on a accepté. Mais vous êtes intervenus. Maintenant, nous ne serons pas payés.
Quant au disparisions, on ne sait rien. Si vous voulez mon avis, plusieurs des disparitions sont en fait des gens qui ont quitté la ville pour fuir la guerre et aller se protéger de leur propre moyens. Pour ce qui est des enfants, j'ai entendu dire qu'un des enfants était le fils bâtard du bourgmestre, qu'il l'avait fait disparaître pour des raisons qui lui sont propres.»
Tout le temps que Malek, vide son sac, Pylor, son compagnon, se contente de hocher la tête en signe de soutien. Il ne bouge pas, même s'il semble très inconfortable sur le tabouret.
*****
Imay, ton examen des fenêtres au rez-de-chaussée révèle que les portes et les fenêtres sont bel et bien verrouillées. Les volets qui couvrent les fenêtres sont fait de bois, mais tu remarques qu'ils sont renforcés par des lattes d'acier forgé. Il y a de la lumière qui filtre de l'intérieur.
Valishan, ton examen de la facade révèle qu'on pourrait bel et bien l'escaladé. Par contre, tu ne trouves aucun signe que ce fut le cas. La mousse qui couvre le mortier n'a pas été dérangée depuis des lustres. Il n'y a aucune égratignure sur la pierre outre celles qui sont à hauteur d'homme, probablement provenant de charettes qui ont passés trop près du mur. Par contre, tu trouves 3 sous qui ont été échappés dans la rue.
Naline, ton examen de la serrure indique qu'elle ne semble pas avoir été forcée. Il n'y a aucune marque caractéristique laissée par les crochets à serrure ou les outils avec lesquel tu est familière. Par contre, la serrure porte la marque du serrurier. N'étant pas de la région, tu ne reconnais pas son origine, mais la marque est distinctive et parfaitement visible.
Après avoir cogné trois coups, vous attendez patiemment que quelqu'un vienne répondre. Au bout d'un moment, vous entendez le bruit du loquet de la serrure glisser et la porte s'ouvre un brin. Au travers la fente, Naline peut apercevoir une halfelin d'un certain âge qui vous observe, incertaine et sévère. Au bout d'un moment, sa voix rauque et dure se fait entendre :
«Oui ? Qui est-vous ? Qui vous envoit ?»
«Nous somme venus pour donner notre témoignage à la justice. Mais avant de le faire, je voulais savoir pourquoi vous avez fait ce que vous avez fait. Je ne crois pas que ce soit votre idée de vous attaquer au prêtre. Si nous pouvions dire à la justice qui était vraiment responsable, nous pourrions recommander qu'ils soient cléments envers vous. N'ayez pas peur de représailles - c'est l'intention de la garde et de l'église de vous protéger. Maintenant, dites-moi: Qui est cette Jill que nous avons entendu mentionnée? Qu'est-ce que vous savez auprès des disparitions?», dit Altran.
Le garde lève la tête. Le eccymoses qui couvrent son visage son violacées, l'oeil droit est pratiquement complètement fermé.
«Jill est une amie, nous partageons un verre avec elle de temps à autre. Nous savions qu'elle avait des contact au sein des Arlequins, mais nous n'avions rien dit. Nous ne l'avions jamais vue ou prise sur le fait en train de commettre quoique ce soit d'illégal. Bref, Jil nous a demandé il y a deux jour de faire peur au prêtres pour qu'ils abandonnent les recherches pour les enfants. On devait seulement leur faire peur et elle nous paierait quelques couronnes pour le travail. Avec le salaire que nous faisons, l'offre était alléchante. Nous pensions qu'il n'y avait pas grand risque. De toutes façons, les prêtres vivent bien, une petite frousse ne leur aurait pas fait trop de mal et nous aurions pu nourir un peu mieux nos familles. Bref, on a accepté. Mais vous êtes intervenus. Maintenant, nous ne serons pas payés.
Quant au disparisions, on ne sait rien. Si vous voulez mon avis, plusieurs des disparitions sont en fait des gens qui ont quitté la ville pour fuir la guerre et aller se protéger de leur propre moyens. Pour ce qui est des enfants, j'ai entendu dire qu'un des enfants était le fils bâtard du bourgmestre, qu'il l'avait fait disparaître pour des raisons qui lui sont propres.»
Tout le temps que Malek, vide son sac, Pylor, son compagnon, se contente de hocher la tête en signe de soutien. Il ne bouge pas, même s'il semble très inconfortable sur le tabouret.
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Imay, ton examen des fenêtres au rez-de-chaussée révèle que les portes et les fenêtres sont bel et bien verrouillées. Les volets qui couvrent les fenêtres sont fait de bois, mais tu remarques qu'ils sont renforcés par des lattes d'acier forgé. Il y a de la lumière qui filtre de l'intérieur.
Valishan, ton examen de la facade révèle qu'on pourrait bel et bien l'escaladé. Par contre, tu ne trouves aucun signe que ce fut le cas. La mousse qui couvre le mortier n'a pas été dérangée depuis des lustres. Il n'y a aucune égratignure sur la pierre outre celles qui sont à hauteur d'homme, probablement provenant de charettes qui ont passés trop près du mur. Par contre, tu trouves 3 sous qui ont été échappés dans la rue.
Naline, ton examen de la serrure indique qu'elle ne semble pas avoir été forcée. Il n'y a aucune marque caractéristique laissée par les crochets à serrure ou les outils avec lesquel tu est familière. Par contre, la serrure porte la marque du serrurier. N'étant pas de la région, tu ne reconnais pas son origine, mais la marque est distinctive et parfaitement visible.
Après avoir cogné trois coups, vous attendez patiemment que quelqu'un vienne répondre. Au bout d'un moment, vous entendez le bruit du loquet de la serrure glisser et la porte s'ouvre un brin. Au travers la fente, Naline peut apercevoir une halfelin d'un certain âge qui vous observe, incertaine et sévère. Au bout d'un moment, sa voix rauque et dure se fait entendre :
«Oui ? Qui est-vous ? Qui vous envoit ?»