L'après-midi se passa sans événement notable. Chacun put vaquer à ses propres occupations, profitant du moment de répis pour faire le plein d'énergie, faire quelques recherches ou simplement se prélasser bien au chaud, dans les salles du monastère. Même Nárin ne mit pas le pieds dehors, de peur d'avoir à affronter une bande de badauds. Il ne l'admettrait jamais à qui que ce soit, mais personne n'était dupe. Les foules, ce n'était pas son fort.
Le lendemain, en milieu d'avant-midi, les compagnons se retrouvèrent donc à nouveau dans la salle des masques, prêts à affronter les dangers de Jzadirune.
«Bon, par où commence-t-on, cette fois,» demanda Nárin la hache à la main.